Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 22:56

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Le père et le frère.


La chaleur des rayons du soleil réveilla Aurélie. Elle ouvrit les yeux, puis regarda son réveil… il était presque midi ! Pour une fois qu’elle avait l’occasion de faire la grasse matinée sans être réveillée par son père ou pire, par son frère, qui avait l’habitude de lui arracher la couverture et s’enfuir avec… c’était un de ses jeux favoris…

Tout en se faisant ses réflexions, Aurélie porta une main à sa culotte pour y sentir la forme humaine qui s’y dessinait. Elle se dit que son frère devait être réveillé depuis longtemps, comme à son habitude, mais que là il ne pouvait pas faire grand-chose pour l’embêter, car le moindre de ses mouvement lui procurait un frisson d’excitation. Elle se caressa un moment, dans un demi-sommeil, s’amusant à enterrer son frère entre ses lèvres qui ne devait pas être bien propre… En effet, dans sa prison de tissu et de chair, Damien, après avoir attendu patiemment le réveil de sa sœur, se retrouva très vite englué de cyprine, sans compter l’odeur persistante d’urine qui lui donnait parfois des haut-le-cœur. Mais cela s’arrêta assez vite, car il se sentit moins écrasé sur la vulve lorsqu’Aurélie se leva. Elle s’approcha de la chaise ou elle avait déposé son père la veille au soir, se demandant à quel point il devait être effrayé et abasourdi de ce qui s’était passé la veille. Elle le sortit de la chaussette, et elle s’aperçut qu’il était à peu près de la taille de son frère, c'est-à-dire une douzaine de centimètres.

-Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est qui m’arrive ? Nom de dieu explique moi !! hurla-t-il de sa petite voix

-haha papa, je t’explique, dit aurélie en riant, grâce à cette télécommande, je t’ai réduit à la taille de, je dirais… hm... 10 centimètres ?

-Mais c’est impossible ! Ca doit être un rêve ou une blague ou je ne sais pas mais…

Il commençait à bafouiller, pendant qu’Aurélie contemplait le spectacle avec ravissement. Son père n’était pas quelqu’un de très méchant ou de violent, mais il n’avait jamais pris sa défense quand son frère la taquinait, et il était un peu macho, surtout avec sa mère…

-mais alors ton frère… il lui est arrivé la même chose ? C’est toi qui le cache ? Qu’est-ce qui lui est arrivé ? demanda-t-il lorsqu’il reprit ses esprits.

-eh bien regarde par toi-même !

Aurélie posa son père sur la chaise, et enleva sa culotte, devant ses yeux ahuris. Elle la fit glisser le long de ses jolies cuisses, et lorsqu’elle fut suffisamment bas, son père put apercevoir son fils, cousu au fond, recouvert de sécrétions dont la puanteur lui parvenait ! Il conserva une expression de frayeur, et leva les yeux vers sa fille, muet.

-Eh bien papa ? On ne dit plus rien ? T’as perdu ta langue ?... Ca te plairait à toi aussi d’être mon petit esclave ?

Le père, toujours muet et blanc comme un linge, regardait sa fille comme si c’était la première fois qu’il la voyait. Il n’arrivait pas à y croire en fait, et dans sa tête, il retournait sans cesse l’idée que tout ça n’était qu’un rêve et qu’il allait bientôt se réveiller. -bon, eh bien, qui ne dit mot consens hein, ajouta Aurélie, contente de sa position de supériorité.

Elle enleva complètement sa culotte, la prit avec elle, ainsi que son père qu’elle récupéra dans son poing. Elle amena les deux dans la salle de bains, ou elle fit couler de l’eau dans l’évier pour le remplir. Puis elle entreprit de sortir son frère de son carcan de tissu et déshabilla son père, toujours hébété et se laissant faire. Elle regarda un moment les deux petits hommes nus, dont l’un tremblait de peur et l’autre semblait complètement ailleurs.

-bon, on va prendre un bain, toi ça te nettoiera et papa, j’espère que ça te réveillera. Parce que tu vois, si tu te laisse faire sans protester, c’est moins rigolo… dit-elle en faisant une moue boudeuse.

Puis elle pris les deux et les laissa tomber dans l’eau en les lâchant d’une dizaine de centimètres. La chute, pour eux, parût longue. Damien, eut l’impression de faire un plat dans l’eau, mais bizarrement il n’eut pas mal. Quand à son père, le contact avec l’eau froide le réveilla très vite et il se mit à nager frénétiquement vers le bord pour remonter. Mais Aurélie, voyant que ses deux prisonniers tentaient de s’enfuir, s’amusait en les éclaboussant dans les directions opposées, et en créant des courant qui les faisait tournoyer dans l’évier. A un moment, épuisé d’avoir passé presque 24 heures dans la culotte moite de sa sœur, Damien vit ses forces l’abandonner, et il se mit à couler au fond de l’évier.

-oooh, bah alors grand frère, on est fatigué ? dit Aurélie sadiquement en regardant le corps de son frère toucher le fond. Papa !

Le père sursauta et regarda sa fille avec inquiétude.

-Papa, voici un défi pour toi, il faut que tu ramène ton fils à la surface, sinon je le laisse se noyer !

Aurélie avait pris pour ses derniers mots un ton de petite fille, en les chantonnant un peu, ce qui renforça le côté absurde et terrifiant de la situation.

Ni une ni deux, le père plongea, et arriva vite au niveau du corps inerte du frère. Il le prit dans ses bras et le remonta à la surface.

« C’est trop facile », pensa Aurélie, qui décida de corser un peu le jeu. Dès que son père arriva à la surface pour prendre une grande bouffée d’air, le doigt de sa fille appuya sur sa tête pour le replonger brutalement sous la surface. Pris par surprise, le père s’étouffa en avalant de l’eau, et lâcha le corps du frère qui se mit de nouveau à couler… Cela faisait presque une minute qu’il n’était pas remonté…

Le père, s’apercevant de la chose, replongea au fond pour le remonter, et cette fois eu le temps de faire surgir la tête du frère avant qu’Aurélie ne les replonge tout les deux. Elle s’amusait beaucoup, et pensait au nombre de fois que son frère l’avait coulé à la piscine ou à la mer. Faire cela lui procurait un jouissance incroyable, se sentant toute puissante, car elle tenait la vie de son frère entre ses mains, entre ses doigts…

Enfin, lorsqu’il émergea la troisième fois, son père ne sentit pas le doigt de sa fille le repousser au fond, mais sa main les prendre tout les deux et les déposer sur le rebord.

-nouveau jeu ! Tu dois réanimer mon frérot, sinon tu auras un gage ! Dit-elle à nouveau de manière très candide, comme s’il ne s’agissait que d’un jeu inoffensif d’enfant…

Le père se mit à faire du bouche-à-bouche et un massage cardiaque sous l’œil amusé de sa fille. Tuer son frère n’était pas un problème pour elle, juste un accident de parcours plutôt…

Enfin, son frère se mit à cracher de l’eau, à tousser, et ouvrit les yeux pendant que son père, sanglotant, l’étreignait dans ses bras

-ooh, comme c’est touchant, dit Aurélie. Papa, c’est bien tu as mis peu de temps au final, tu n’auras pas de gage. Par contre petit frère, va falloir que tu payes pour ton manque d’endurance hein. Mais vous inquiétez pas, je vais vous entrainer !

Aurélie venait d’avoir une idée. Elle récupéra les deux petits hommes et les emmena sur son lit. Elle les déposa sur un oreiller chacun, et s’assit sur le bord du lit. Les deux hommes, nus et tremblant de froid, restaient interdits.

-Alors voilà, pour vous entrainer, on va faire un jeu. On va faire des courses, des épreuves, tout ça. Et pour vous motiver, le perdant aura un gage à chaque fois. Donc il va falloir donner votre maximum !

Les deux voyaient ou elle voulait en venir, et ils n’aimaient pas ça du tout.

-première épreuve, vous devez courir sur le lit, le premier à en atteindre le bout n’aura pas le gage.

-c’est quoi le gage ? hurla le frère depuis là où il se trouvait

-tatata je ne le dit pas… et pour avoir parlé sans permission, tu auras un handicap !

Aurélie, riant de sa bonne idée, chercha aux alentours quelque chose pour handicaper son frère… elle finit par trouver du sparadrap, qu’elle découpa en une petite bande. Puis elle attrapa son frère et lui colla autour de la tête pour lui couvrir les yeux. Elle le reposa sur l’oreiller, amusée de son tour, puis elle fit un clin d’œil à son père, qui continua à la regarder avec son air ahuri.
-attention vous êtes près les lilliputiens ?... 3, 2, 1 partez !

Le père et le frère s’élancèrent et commencèrent par rouler en bas de leurs oreillers. Le père continua sa course, et jeta un œil vers Damien, qui était parti aussi, mais légèrement plus en diagonale… Il courait plus vite que son père, mais commençait à se rapprocher du bord du lit. Aurélie regardait la scène, excitée et impatiente du résultat, quand soudain elle vit son frère, qui avait pris de l’avance, tomber d’un côté du lit. Il atterrit avec un bruit mat, et se releva en titubant un peu, pendant que son père atteignait l’extrémité.

-Fin de la course ! cria Aurélie, en tapant des mains. Bravo à toi papa ! Tu auras la chance de ne pas avoir de gage cette fois ! Aaah, Damien, dit-elle en s’approchant de lui, tu es notre malheureux candidat perdant… Elle lui enleva le sparadrap, lui arrachant un cri de douleur et quelques cheveux au passage.

-Tu vas donc devoir subir ton gage !

Aurélie le prit dans sa main, et le regarda avec un sourire démoniaque…

Par carpette12
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