Dimanche 27 février 7 27 /02 /Fév 15:46

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Chapitre 4 : un nouveau quotidien

 

Elle arriva dans la chambre de son père, qui entassait des affaires dans son sac à dos. Il répondit à son bonjour par un grommèlement et lui demanda ou était passé son frère.
-il est déjà parti à la piscine, il a dit qu’aujourd’hui, c’était son jour de repos et de confort…
-ah… bon, eh bien il semblerait qu’on se retrouve tous les deux pour une journée de rando alors… c’est la direction de l’hôtel qui nous l’a proposé, et je nous ai inscrit… je vais laisser le sandwiche de ton frère dans la chambre.
Aurélie sourit, et retourna dans sa chambre pour enfiler un pantalon et des chaussures de marche. Elle prit soin, au travers du tissu, de repositionner bien contre sa chatte la petite forme humaine qui se trouvait là… elle sentait ses gesticulations et ses gigotements. Elle appuya sur son frère pour le faire cesser, ce qu’il fit.
Noir, chaud et puant. Voilà comment Damien aurait décris son environnement. S’il pouvait parler bien entendu. Il n’essayait plus d’ouvrir la bouche depuis que sa dernière tentative lui avait fait « boire la tasse ». Il sentit ses déplacements, et entendit la voix de son père, étouffée par la masse de chair et de tissu autour de lui. Puis il sentit quelque chose le plaquer entre les deux lèvres gluantes. Sa sœur mettait un pantalon. Il eut vite le plus grand mal à respirer, et se mit à bouger frénétiquement pour l’indiquer, mais alors une pression très forte lui plaqua le visage tout contre un clitoris luisant et turgescent, l’assommant à moitié… Lorsqu’il reprit ses esprit, il s’aperçu qu’il pouvait respirer, certes difficilement et un air vicié, mais au moins il ne risquait pas la mort. Pour le moment. Cette pensée lui tira les larmes, et il se mit à regretter tellement ce qu’il avait fait à sa sœur… Il se mit à prier tandis qu’il sentait sa sœur marcher et qu’il était légèrement balloté et frotté contre elle… Cela dura un moment pendant lequel il se calme et prit en patience sa situation. Lorsque soudain il fut compressé, mais pas comme la dernière fois. Cette fois il lui semblait que tout ce qui l’entourait s’était soudain rapproché de lui, lui soufflant l’air des poumons, et l’obligeant à repirer par à-coups.
Aurélie, après être sortie de l’hôtel, s’était assise à côté de son père dans l’autocar qui allait les emmener se balader quelque part, elle ne savait pas où, et d’ailleurs elle s’en fichait. Elle se réjouissait à l’idée qu’elle allait faire un peu de sport, déjà parce qu’il fallait s’entretenir, mais aussi parce qu’elle savait que l’endroit ou était son frère allait vite devenir un vair petit enfer. Elle frotta des jambes l’une contre l’autre en y pensant, et se demanda à quel p oint son frère était inconfortablement installé.
Après une demi-heure de route, le car s’arrêta sur le bord, dans un petit village assez joli, et la vingtaine de touriste de leur hôtel sortit en même temps qu’eux. Elle récupéra leurs sacs et rejoignit son père, qui discutait avec une monitrice d’un club quelconque. Celle-ci était blonde, très jolie et sportive. Aurélie arriva près d’eux et se mit à côté de son père.
-et ça c’est ma fille, aurélie !
-salut aurélie ! Alors, on est venu se défouler un peu ? dit la blonde avec un clin d’œil… Ou peut-être que tu préfère rester à la piscine et flirter…
-bof, les garçons, ça sert pas à grand-chose… Sauf si c’est bien sage… répondit aurélie avec une moue.
La blonde la regarda avec une drôle d’expression. Puis elle serra la main de son père et partit animer le groupe. De leur côté, ils partirent sur un chemin qui montait en direction d’une sorte de petite montagne. Il était 10 heures. Ce n’est qu’à midi qu’ils arrivèrent au somment, ou ils découvrirent un autre groupe de touristes, moins nombreux et rassemblés à l’ombre d’un arbre pour manger. Son père s’approcha, et se mit à discuter avec les familles à grand coups d’éclats de rire et d’anglais mal parlé. Aurélie fit signe qu’elle allait se soulager plus loin… elle s’éloigna et se plaça derrière une rangée d’autres arbres situés derrière une paroi rocheuse. Elle baissa son pantalon et constata que sa culotte était complètement trempée de sueur. En riant à moitié, elle la descendit sur ses jambes en s’accroupissant. Son frère était là, les yeux à demi-fermés, comme complètement dans les vapes. De son doigt, elle lui tapota durement la tête, et il la regarda les yeux grands ouverts, hébété.
-Aurélie, je t’en prie, laisse moi sortir, laisse-moi partir c’est vraiment pas humain ! Il fait très chaud et mes yeux me brûlent à cause de la sueur. J’ai des courbatures de partout et…
Aurélie le laissa parler de sa petite voix presque inaudible, et elle se mit à uriner abondamment. Lorsqu’elle eut fini, elle regarda son frère qui pleurait à moitié en continuant à lui promettre qu’il ferait le ménage, la vaisselle, ses devoirs et autre si elle le laissait sortir.
-désolé p’tit frère, le coupa-t-elle, mais tu n’es plus en position pour parlementer…
Et elle se releva en remontant sa culotte à fond, enterrant son frère dans son entre-jambe, mais cette fois mouillé d’urine. Elle reboutonna son pantalon, et de dirigea vers le groupe ou était son père, d’une démarche calme et apaisée.
Damien pensait avoir connu l’enfer, et il s’aperçut vite que sa sœur pouvait faire pire encore : En plus de la chaleur, de l’humidité, de l’odeur, voilà que maintenant la nausée lui venait et qu’il conservait les yeux fermés à cause de l’acidité qui les lui piquait atrocement. Il se mit à respirer par la bouche, car même si de cette manière il ingérait à chaque respiration de la sueur et de la pisse, il préférait ça à se noyer dans son propre vomi. Des larmes lui montèrent aux yeux, ce qui lui fit du bien et évacua un peu l’urine acide…
Aurélie ne se sentait certes pas très à l’aise, car elle sentait son entrejambe légèrement mouillée, mais faire subir ça à son frère lui demandait bien quelques petits sacrifices. Elle rejoignit le groupe et s’assit un peu brusquement sur ses talons, compressant la petite forme entre ses deux cuisses blanches et galbées. Puis elle se servit un morceau de poulet qui se trouvait sur un torchon, et mordit dedans à pleines dents.
La journée se termina doucement par la suite de la randonnée et le retour à l’hôtel. Aurélie et son père se rendirent dans leurs chambres respectives, et Aurélie, épuisée, se jeta sur son lit. Elle se mit à fermer les yeux, et finit par s’endormir, tandis que Damien s’endormait lui aussi…
Elle fut réveillée une heure plus tard par son père :
-Ma chérie, je ne trouve pas ton frère, et à la piscine on me dit qu’il n’est pas venu aujourd’hui, ou en tout cas pas cet après-midi… Je sais que parfois il va un centre se balader, mais là il est 19h et je m’inquiète un peu… Je vais aller prévenir la direction, on sait jamais
-mais non… t’inquiète pas il va pas tarder. Si ça se trouve il va très bien en ce moment, répondit-elle avec la voix pâteuse du sommeil
-tu as probablement raison, mais après il n’y aura plus personne à l’accueil et je ne sais pas s’il a pris ses clefs…
Aurélie imagina le scénario assez vite : son père prévenait l’accueil, son frère ne revenait pas (ça, elle en était sûre), la police s’en mêlait. Elle se dit alors que même si elle n’était pas soupçonnée, ça ferait des histoires et qu’elle ne pourrait pas profiter en paix de ses vacances et de son nouveau jouet… tandis que son père finissait sa phrase, elle se retourna, fouilla dans sa table de chevet, et en sortit la télécommande. Au moment ou son père tournait la poignée de sa chambre pour rejoindre la sienne, aussi naturellement que si elle avait allumée la télé, elle appuya sur le bouton 15, et son père disparut. Elle se leva et souleva entre deux doigts la forme maintenant minuscule de son père. Encore dans les vapes, elle fouilla dans sa valise de l’autre main pour trouver une chaussette propre. N’en trouvant pas, elle en prit une sale qui trainait sur la chaise, et fourra son père dedans. Puis elle la referma en faisant un nœud au bout, et la reposa sur la chaise. Enfin, elle se recoucha, ferma les yeux et se rendormit.

Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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