La télécommande (histoire)

Dimanche 27 février 7 27 /02 /Fév 15:46

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Chapitre 4 : un nouveau quotidien

 

Elle arriva dans la chambre de son père, qui entassait des affaires dans son sac à dos. Il répondit à son bonjour par un grommèlement et lui demanda ou était passé son frère.
-il est déjà parti à la piscine, il a dit qu’aujourd’hui, c’était son jour de repos et de confort…
-ah… bon, eh bien il semblerait qu’on se retrouve tous les deux pour une journée de rando alors… c’est la direction de l’hôtel qui nous l’a proposé, et je nous ai inscrit… je vais laisser le sandwiche de ton frère dans la chambre.
Aurélie sourit, et retourna dans sa chambre pour enfiler un pantalon et des chaussures de marche. Elle prit soin, au travers du tissu, de repositionner bien contre sa chatte la petite forme humaine qui se trouvait là… elle sentait ses gesticulations et ses gigotements. Elle appuya sur son frère pour le faire cesser, ce qu’il fit.
Noir, chaud et puant. Voilà comment Damien aurait décris son environnement. S’il pouvait parler bien entendu. Il n’essayait plus d’ouvrir la bouche depuis que sa dernière tentative lui avait fait « boire la tasse ». Il sentit ses déplacements, et entendit la voix de son père, étouffée par la masse de chair et de tissu autour de lui. Puis il sentit quelque chose le plaquer entre les deux lèvres gluantes. Sa sœur mettait un pantalon. Il eut vite le plus grand mal à respirer, et se mit à bouger frénétiquement pour l’indiquer, mais alors une pression très forte lui plaqua le visage tout contre un clitoris luisant et turgescent, l’assommant à moitié… Lorsqu’il reprit ses esprit, il s’aperçu qu’il pouvait respirer, certes difficilement et un air vicié, mais au moins il ne risquait pas la mort. Pour le moment. Cette pensée lui tira les larmes, et il se mit à regretter tellement ce qu’il avait fait à sa sœur… Il se mit à prier tandis qu’il sentait sa sœur marcher et qu’il était légèrement balloté et frotté contre elle… Cela dura un moment pendant lequel il se calme et prit en patience sa situation. Lorsque soudain il fut compressé, mais pas comme la dernière fois. Cette fois il lui semblait que tout ce qui l’entourait s’était soudain rapproché de lui, lui soufflant l’air des poumons, et l’obligeant à repirer par à-coups.
Aurélie, après être sortie de l’hôtel, s’était assise à côté de son père dans l’autocar qui allait les emmener se balader quelque part, elle ne savait pas où, et d’ailleurs elle s’en fichait. Elle se réjouissait à l’idée qu’elle allait faire un peu de sport, déjà parce qu’il fallait s’entretenir, mais aussi parce qu’elle savait que l’endroit ou était son frère allait vite devenir un vair petit enfer. Elle frotta des jambes l’une contre l’autre en y pensant, et se demanda à quel p oint son frère était inconfortablement installé.
Après une demi-heure de route, le car s’arrêta sur le bord, dans un petit village assez joli, et la vingtaine de touriste de leur hôtel sortit en même temps qu’eux. Elle récupéra leurs sacs et rejoignit son père, qui discutait avec une monitrice d’un club quelconque. Celle-ci était blonde, très jolie et sportive. Aurélie arriva près d’eux et se mit à côté de son père.
-et ça c’est ma fille, aurélie !
-salut aurélie ! Alors, on est venu se défouler un peu ? dit la blonde avec un clin d’œil… Ou peut-être que tu préfère rester à la piscine et flirter…
-bof, les garçons, ça sert pas à grand-chose… Sauf si c’est bien sage… répondit aurélie avec une moue.
La blonde la regarda avec une drôle d’expression. Puis elle serra la main de son père et partit animer le groupe. De leur côté, ils partirent sur un chemin qui montait en direction d’une sorte de petite montagne. Il était 10 heures. Ce n’est qu’à midi qu’ils arrivèrent au somment, ou ils découvrirent un autre groupe de touristes, moins nombreux et rassemblés à l’ombre d’un arbre pour manger. Son père s’approcha, et se mit à discuter avec les familles à grand coups d’éclats de rire et d’anglais mal parlé. Aurélie fit signe qu’elle allait se soulager plus loin… elle s’éloigna et se plaça derrière une rangée d’autres arbres situés derrière une paroi rocheuse. Elle baissa son pantalon et constata que sa culotte était complètement trempée de sueur. En riant à moitié, elle la descendit sur ses jambes en s’accroupissant. Son frère était là, les yeux à demi-fermés, comme complètement dans les vapes. De son doigt, elle lui tapota durement la tête, et il la regarda les yeux grands ouverts, hébété.
-Aurélie, je t’en prie, laisse moi sortir, laisse-moi partir c’est vraiment pas humain ! Il fait très chaud et mes yeux me brûlent à cause de la sueur. J’ai des courbatures de partout et…
Aurélie le laissa parler de sa petite voix presque inaudible, et elle se mit à uriner abondamment. Lorsqu’elle eut fini, elle regarda son frère qui pleurait à moitié en continuant à lui promettre qu’il ferait le ménage, la vaisselle, ses devoirs et autre si elle le laissait sortir.
-désolé p’tit frère, le coupa-t-elle, mais tu n’es plus en position pour parlementer…
Et elle se releva en remontant sa culotte à fond, enterrant son frère dans son entre-jambe, mais cette fois mouillé d’urine. Elle reboutonna son pantalon, et de dirigea vers le groupe ou était son père, d’une démarche calme et apaisée.
Damien pensait avoir connu l’enfer, et il s’aperçut vite que sa sœur pouvait faire pire encore : En plus de la chaleur, de l’humidité, de l’odeur, voilà que maintenant la nausée lui venait et qu’il conservait les yeux fermés à cause de l’acidité qui les lui piquait atrocement. Il se mit à respirer par la bouche, car même si de cette manière il ingérait à chaque respiration de la sueur et de la pisse, il préférait ça à se noyer dans son propre vomi. Des larmes lui montèrent aux yeux, ce qui lui fit du bien et évacua un peu l’urine acide…
Aurélie ne se sentait certes pas très à l’aise, car elle sentait son entrejambe légèrement mouillée, mais faire subir ça à son frère lui demandait bien quelques petits sacrifices. Elle rejoignit le groupe et s’assit un peu brusquement sur ses talons, compressant la petite forme entre ses deux cuisses blanches et galbées. Puis elle se servit un morceau de poulet qui se trouvait sur un torchon, et mordit dedans à pleines dents.
La journée se termina doucement par la suite de la randonnée et le retour à l’hôtel. Aurélie et son père se rendirent dans leurs chambres respectives, et Aurélie, épuisée, se jeta sur son lit. Elle se mit à fermer les yeux, et finit par s’endormir, tandis que Damien s’endormait lui aussi…
Elle fut réveillée une heure plus tard par son père :
-Ma chérie, je ne trouve pas ton frère, et à la piscine on me dit qu’il n’est pas venu aujourd’hui, ou en tout cas pas cet après-midi… Je sais que parfois il va un centre se balader, mais là il est 19h et je m’inquiète un peu… Je vais aller prévenir la direction, on sait jamais
-mais non… t’inquiète pas il va pas tarder. Si ça se trouve il va très bien en ce moment, répondit-elle avec la voix pâteuse du sommeil
-tu as probablement raison, mais après il n’y aura plus personne à l’accueil et je ne sais pas s’il a pris ses clefs…
Aurélie imagina le scénario assez vite : son père prévenait l’accueil, son frère ne revenait pas (ça, elle en était sûre), la police s’en mêlait. Elle se dit alors que même si elle n’était pas soupçonnée, ça ferait des histoires et qu’elle ne pourrait pas profiter en paix de ses vacances et de son nouveau jouet… tandis que son père finissait sa phrase, elle se retourna, fouilla dans sa table de chevet, et en sortit la télécommande. Au moment ou son père tournait la poignée de sa chambre pour rejoindre la sienne, aussi naturellement que si elle avait allumée la télé, elle appuya sur le bouton 15, et son père disparut. Elle se leva et souleva entre deux doigts la forme maintenant minuscule de son père. Encore dans les vapes, elle fouilla dans sa valise de l’autre main pour trouver une chaussette propre. N’en trouvant pas, elle en prit une sale qui trainait sur la chaise, et fourra son père dedans. Puis elle la referma en faisant un nœud au bout, et la reposa sur la chaise. Enfin, elle se recoucha, ferma les yeux et se rendormit.

Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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Dimanche 6 février 7 06 /02 /Fév 13:30

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"Tais-toi et laisse faire la femme"

 

Aurélie se réveilla, son visage éclairé par un rayon de soleil qui passait par la fenêtre. Elle se défit du drap, s’assit sur le bord du lit, et se prépara à se lever. C’est au moment de poser les pieds par terre qu’elle se souvint… Elle retira en vitesse ses chaussettes, avec lenteur et un sourire apparut sur son visage lorsqu’elle en fit tomber son frère…

-Alors mon petit… t’as bien dormi ? moi j’ai passé une nuit merveilleuse… , dit-elle en le dévorant du regard…

Le petit humain qu’elle avait dans sa main paraissait complètement affolé et désorienté.

-Aurélie, je t’en prie, arrête ! tu es complètement folle enfin ! Arrête ce délire !

-chhht, on ne fais pas de simagrées… ou alors il risque de t’arriver des misères…

Effrayé par le ton autoritaire de sa sœur, Damien cessa de parler, et décida de tenter le tout pour le tout, en courant et sautant de la main de sa sœur. La chute fut vertigineuse, mais son poids lui permit d’atterrir sans problème sur le matelas, ou il commença à courir de toutes ses forces sur ses petites jambes.

Aurélie regardait la scène avec amusement, et, avant que son frère puisse atteindre le bord du matelas, elle posa sa main devant lui. Damien stoppe net, puis fit demi-tour pour repartir dans l’autre sens. Une fois encore, la main géante d’Aurélie se plaça devant lui comme un mur, et il n’eut d’autre choix que de refaire demi-tour…

Après deux aller-retour, Damien commença à être épuisé, courant de plus en plus lentement. Aurélie comptait sur sa reddition rapide, mais il continuait pourtant de courir. Son endurance et sa détermination l’énerva rapidement, et elle décida d’y mettre un terme.

Damien courait encore et encore, haletant, lorsqu’il sentit l’ombre s’étendre sur lui. Il eut à peine le temps de lever les yeux qu’il fut plaqué contre le matelas. Il subissait une pression insoutenable, et avait le plus grand mal à respirer. Il n’avait aucune idée de se qui se passait. Il savait juste qu’il risquait de mourir s’il restait dans cette situation…

Aurélie savourait. Elle s’était levé puis s’était brusquement assise sur son grand frère de tout son poids, sans aucun scrupule… Elle sentait son corps écrasé sous sa fesse gauche, et ressentit un frisson de puissance et d’excitation grandissant… Si bien qu’elle se surprit à se caresser au travers de la nuisette…

Elle resta assise une bonne minute, puis se leva. Elle se retourna et pouffa de rire en voyant son frère aplati sur le matelas. Lentement, il bougea les bras et les jambes, puis se releva, titubant…

-Qu’est-ce qui s’est passé ? T’as fait quoi là encore ?

-Je me suis assise sur toi, et si tu ne fais pas tout ce que je te dis à partir de maintenant, ça rique de se reproduire, ou pire encore… Alors je te conseille de faire gaffe…

-Mais t’es complètement malade ?!! Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? J’aurais pu mourir étouffé ou écrasé ou encore...

-BON !

Le cri d’Aurélie coupa net Damien, qui blêmit en voyant s’approcher la main gigantesque de sa sœur. Pétrifié, il se sentit attrapé par une poigne de fer.

Aurélie, son frère dans le poing, se déplaça rapidement jusqu’à la salle de bain, où, de l’autre main, elle remplit un verre D’eau aux trois quarts. Puis elle prit son frère, et le fit pendre par les pieds au-dessus du verre.

-J’espère qu’après tu feras moins le malin… lui dit-elle, couvrant ses cris de terreur.

Avec un sourire mauvais, elle abaissa sa main, plongeant son frère jusqu’au torse dans le verre d’eau froide. Elle regarda l’horloge de la salle de bain, et compta trente secondes.

Damien était gelé, et ne pouvait pas respirer. Il avait eu la présence d’esprit de prendre une grande bouffée d’oxygène avant le plongeon, mais ses poumons commençaient à le bruler… Il comprit à ce moment que sa sœur ne plaisantait pas, elle qu’elle le tuerait probablement s’il ne faisait pas ce qu’elle disait. Il se demandait même si elle ne l’avait pas déjà prévu…

Il fut interrompu dans ses réflexions lorsqu’il sorti du verre. Il prit de grandes inspirations paniquées, au cas où il eut à replonger rapidement…

Mais Aurélie en décida autrement. Elle prit un autre verre, vide, et déposa son frère à l’intérieur. Lui la voyait comme ça toute déformée à cause de l’épaisseur du verre…

-Alors c’est bon ? t’as compris ? tu va te tenir tranquille maintenant ?

Damien acquiesça rapidement, puis s’assit par terre et regarda le sourire de sa sœur s’élargir.

-bieeeen. Alors si ça ne te dérange pas, je vais maintenant prendre une douche, puis on ira probablement en ville… je ne sais pas ce qu’à prévu papa, mais moi j’ai prévu quelque chose pour lui

Puis, sur ces mots, elle enleva sa nuisette, et se mit sous la douche.

Damien ne pouvait s’empêcher de regarder son corps de géante, et de penser qu’elle n’aurait aucun mal à se trouver un petit ami si elle n’avait pas un aussi mauvais caractère… de là ses seins paraissaient énormes, et le buisson de son sexe semblaient être une vraie forêt pour un lilliputien comme lui… Se maudissant de tous les noms, il se mit à penser que peut-être, s’il était suffisamment gentil et dévoué, elle le laisserait reprendre sa taille normale.

Pendant qu’il réfléchissait, Aurélie finissait de prendre sa douche, puis elle sorti et s’enveloppa d’une serviette. Enfin, elle s’habilla : soutien-gorge et débardeur pour le haut, jupe pour le bas. Damien ne put s’empêcher de remarquer qu’elle n’avait pas mise de culotte, ce qui, à sa grande honte, l’excita un peu. Puis elle se maquilla légèrement, et partit dans sa chambre. Elle revint vite, avec un matériel de couture sous le bras.

-J’ai une surprise pour toi petit frère ! dit-elle avec un grand sourire.

Elle reversa le verre pour récupérer Damien, qui se laissa faire. Puis elle sortit du fil, et commença à l’enrouler autour du corps de son frère, en partant des cheville, jusqu’aux épaules. De cette manière ligoté, il ne pouvait plus du tout bouger, et se mit à appréhender la suite…

Aurélie ensuite prit du tissu, qu’elle enroula de la même manière autour du corps de son frère, laissant sa tête à l’air libre. Enfin, elle sorti d’un placard une culotte, qu’elle posa à côté du lavabo. Elle déposa son frère au niveau de l’entrejambe, sur le dos, et entreprit de coudre le tissu dans lequel il était emballé au fond de son vêtement…

-Aurélie, qu’est-ce que tu…
Il fut interrompu par un regard noir lancé par sa sœur, qui bientôt eut finit son ouvrage… Satisfaite, elle recula pour observer le travail. Elle regarda son frère, se lécha les lèvres à la manière d’un prédateur, et posa la culotte par terre, entre ses jambes écartées.
Damien ne pouvait en croire ses yeux. Il avait devant lui, ou plutôt au dessus de sa tête, la forêt de poils noirs du sexe de sa petite sœur.

-J’espère que tu ne t’ennuieras pas trop… Si c’est le cas, tu peux toujours essayer de me donner du plaisir, hahaha…

Aurélie savoura quelques instant encore la vision du visage complètement ahuri de son frère, puis elle remonta lentement la culotte. Damien vit s’approcher son buisson touffu, puis distingua plus clairement en dessous la vulve rouge et luisante… il poussa un cri, vite étouffé lorsqu’il se retrouva plaqué contre la chatte poilue d’Aurélie. Celle-ci remonta bien haut sa culotte en l’ajustant grâce à des petits mouvements de hanche. Elle sentit rapidement son frère se débattre pour chercher de l’air, et se mit à mouiller d’excitation… Se mordant les lèvres, elle ramassa son sac, et se dirigea vers la chambre de son père, pour lui annoncer que son fils avait décidé de passer la journée à la piscine, et qu’il y était déjà parti…

Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 14:20
http://www.footmaniacs.com/pics/crushfeet1.jpgchapitre 2: La vengeance et le cauchemar.

Elle fut réveillée par l'arrivée de son père et de son frère. Se relevant, elle vérifia que la télécommande était toujours là, sur la table de chevet. Elle entendit son frère dire bonsoir à son père, puis arriver par ici.
-alors ptite sœur, qui c'est qui va pas dormir de la nuit?...
-je dirais, toi. Répondit-elle, saisissant la télécommande, et le visant et appuyant sur marche.
-haha, mais qu'est-ce que tu fais ma grande? Tu essaye de m'impressionner avec un joujou qui fait de la lumière?... T'aurait pu trouver mieux quand même...
Aurélie ne répondit pas, appuya sur le bouton 15 de la télécommande, et son frère disparut. Ou tout du moins disparut-il de son champ de vision...
Lorsqu'elle se pencha, elle vit son frère, par terre, réduit à environ 12 centimètres de haut, complètement désorienté, la regardant, avec une expression d'effroi figée sur le visage. Riant, Aurélie se pencha et l'attrapa. Il se laissa faire, abasourdi, et vit devant lui le visage immense de sa sœur.
-alors, qui sait qui va passer une trèèèès mauvaise nuit finalement? Dit-elle avec un rire sarcastique.
-qu'est ce que tu as fait? Qu'est-ce qui m'arrive? Dit-il de sa petite voix aiue.
-oh, pas grand chose, juste une petit renversement de situation. Tu sais, en t'attendant, j'ai pensé à pas mal de choses te concernant, mais pour cette nuit, je pense que j'ai trouvé la punition que tu mérites...
-papa va le savoir, et il m'aidera, tu finiras par être bien attrapée un jour.
-je ne crois pas non, je pense plutôt que papa va finir de la même manière, car vois-tu, je trouve qu'il n'a pas été très juste avec moi non plus, et ne m'a pas beaucoup soutenu ces derniers temps...
-mais je
-tatata! Premièrement, on ne va plus parler d'accord, on va être bien sage.
Tout en parlant, elle se pencha vers son sac, et d'une main, sorti du rouleau de sparadrap. Elle en détacha un petit bout avec le dents, qu'elle colla sur la bouche de son frère. Ce dernier se mit à pousser des mugissements quasi-inaudibles, ce qui fit beaucoup rire Aurélie... Elle se mit alors à le serrer très fort dans sa main, jusqu'à ce qu'il vire au rouge puis au bleu. Le pauvre, les poumons compressés par cette main d'acier géante, ne pouvait même plus crier... Aurélie regarda pendant une longue minute l'expression affolée sur le visage de son frère, savourant son début de vengeance, puis relâcha la pression, doucement, laissant son 'petit' frère reprendre son souffle peu à peu
-alors, ça t'as plus? Ah oui, j'oubliais que tu ne pouvais pas répondre, gloussa-t-elle tandis que Damien faisait le plus rapidement possible 'non' de la tête.
-bon, on va passer la la phase deux du plan, hein?... Enfin, j'ai appelé ça la phase deux, mais pour le moment je ne sais pas encore combien il va y en avoir... dit-elle avec un sourire féroce, regardant son frère dans les yeux...
Aurélie posa son frère sur son lit, le plaquant sur le matelas avec sa main. Puis, lentement et précautionneusement, elle s'assit sur lui, sur une fesse, afin de le bloquer et d'avoir les mains libres. Puis, après s'être assurée qu'il ne pouvait plus bouger du tout, elle reprit le sparadrap, et en détacha cinq longues bandes fines. Ensuite elle se leva en reprenant son frère dans sa main, et s'appliqua à en enrouler deux autour de son torse, deux autour de ses jambes et une autour de ses pieds, en les serrant au maximum. De cette manière saucissonné, Damien ne pouvait plus bouger du tout, et même respirer lui était difficile. Il prenait de grandes inspirations paniquées, tandis que sa sœur regardait son œuvre, fière d'elle, souriante et confiante. Enfin elle se rassit, tranquillement, son frère à plat dans sa main ouverte, et le contempla un moment, s'amusant de se tortillement et gémissements...
-mon grand, moi je vais dormir, parce que je suis fatiguée, et qu'il faut bien que je prenne de vraies vacances maintenant. Et toi, tu vas dormir là où est ta place... dit-elle, toujours riante mais inflexible.
Aurélie s'allongea,, retira une de ses chaussettes, et la montra à son frère:
-tu vois, je n'ai pas été une bonne fille, j'ai omis de mettre suffisamment de chaussettes dans mes bagages... Donc... Celle-ci, ça fait plus de deux jours que je la porte! C'est pas une bonne nouvelle ça?
Damien écarquilla ses yeux de stupeur et d'incompréhension... Puis, tandis qu'Aurélie approchait la chaussette de son corps, il se peint sur son visage une grimace de dégoût. Aurélie ouvrit la chaussette, et la positionna à la verticale, puis, après avoir jeté un bref coup d'œil au regard implorant de son frère, elle le laissa tomber dedans, simplement. Puis elle renfila sa chaussette avec délice, savourant le contact de ce corps contre sa plante et ses orteils... Elle réajusta le corps à travers le tissus, afin que sa tête soit enfouie entre deux orteils, puis remonta avec force la chaussette contre sa cheville, pour le plaquer au maximum contre son pied...
Damien était tombé dans la chaussette lorsqu'il vit un pied énorme se diriger droit sur lui. Ne pouvant bouger, il cria, mais sa respiration fut coupé par le choc avec le pied de sa sœur. Il se retrouva tassé au fond de la chaussette, dans une position bizarre.
« ça y est, c'est la fin, je vais mourir. D'asphyxie. A cause de cette sadique. », se dit-il intérieurement...
Soudain une main vient e retourner et le plaquer contre la peau moite et puante, et sa tête s'encastra entre le gros orteil et son voisin. De près, la puanteur paraissait terrible, il eut quelques hauts-le-cœur, et vit devant lui quelques particules de poussière et de peau morte, qui renforcèrent sa nausée... Tout un tas de questions lui passaient à travers l'esprit: Comment avait-elle fait ça? Pourquoi ça tombait sur lui? Comment sa petite sœur, si fragile, si faible, était devenue aussi sadique et perverse?... Il se maudit de sa conduite, un peu brusque, il est vrai, mais qui ne méritait pas un tel châtiment... Il s'aperçut qu'il pouvait respirer, mais en prenant de plus grandes inspirations encore, ce qui augmentait son dégoût, et l'obligeait à sentir l'odeur musquée et acide du pied immense auquel il était accolé.
Aurélie, aux anges, détendue, se mit sous les draps, et éteint sa lampe de chevet. Elle sentit avec délice le souffle d'air chaud qui lui passait entre les orteils, puis elle ferma les yeux, et s'endormit vite, pensant à toutes les horreurs qu'elle pourrait lui faire subir. Pour toujours.

A suivre...
Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 14:28
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         Les vacances ne se passaient pas très bien, à vrai dire. Aurélie, en tout cas, ne s'amusait pas. Depuis une semaine qu'elle, son père, Éric, et son idiot de frère, Damien, étaient à Marrakech, rien n'allait. Déjà, l'hôtel est triste, sombre. Ensuite, son père s'obstinait à aller voir le 'patrimoine culturel', comme il dit. Et enfin, son frère, ce crétin, passait son temps à profiter de sa supériorité physique pour la 'taquiner', comme il dit. Taquiner c'est le mot. Aurélie ne comptait plus le nombre de fois où il l'avait poussée dans la petite piscine de l'hôtel, où il avait volontairement laissé dans leur chambre le casse-croûte de sa sœur, où il l'empêchait de dormir dans le lit qu'ils partagaient à l'hôtel. Heureusement pour elle, ils étaient dans une autre chambre que son père, qu'on entendait ronfler même à travers la porte fermée. Chaque jour, Aurélie comptait le temps qu'il restait avant de revenir chez elle, à Rennes, où sa mère, sa complice, l'attendait. Oui, en plus de cela, depuis deux ans, ses parents étaient divorcés, et pour elle ce fut une perte terrible, étant très attachée à sa mère, beaucoup plus qu'à son père, et encore moins qu'à son frère... Ce grand gamin de 18 ans menait la vie dure à sa petite sœur de 15 ans, qui ne demandait rien et n'avait jamais fait de mal à personne. Elle avait bien tenté de lui renvoyer l'ascenseur, de l'embêter deux ou trois fois, mais sans résultat, sinon qu'il avait été encore plus fatiguant que d'habitude après ça. Son père, Éric, avait bien vu que Damien dépassait les bornes, mais il faisait semblant de rien, pensant qu'à cet âge, les chamailleries entre frères et sœur sont coutumières...

 

            Ce matin-là, le premier de la deuxième semaine, il fut décidé par Éric que la journée serait consacrée à la visite de la partie de la ville la plus pittoresque.... ce qui revenait pour Aurélie à visiter des monuments, voir son père discuter dans un anglais effroyable avec les autochtones, et passer son temps dans des boutiques de souvenirs moisies. C'est en se résignant qu'elle fit son sac à dos, et suivit son père et son frère à travers les rues déjà bondées. Si bondées qu'elle perdit de vue son frère, qui probablement consciemment, ne fit aucun effort pour l'attendre. Au bout de cinq minutes, elle finit par maudire ces vacances, et, pour éviter de gêner le passage, rentra dans un petit magasin, une boutique très étriquée, qui vendait visiblement du matériel électronique. Un petit vieux, dont le visage était extrêmement ridé, la fixa de derrière son comptoir. Elle lui fit comprendre, dans un anglais basique, qu'elle ne voulait rien acheter, sorti son portable de son sac, qu'elle déposa par terre, et se mit à tourner en rond dans le pièce, en essayant d'appeler son père. Elle finit par l'avoir, et, lui indiquant brièvement ou elle était, elle sorti dans la rue en attendant qu'il arrive à proximité. Le voyant arriver, peinant à avancer à contre-courant de la foule, elle lui fit signe qu'elle le rejoignait tout de suite, rentra dans la boutique, enfourna son portable dans son sac à dos, regarda une dernière fois le vendeur, lui sourit, ce à quoi il répondit par un clin d'œil. Surprise, Aurélie sorti de la boutique, et rejoint son père, et son frère, qui ne manqua de lui faire remarquer son incapacité à suivre les adultes. Le maudissant intérieurement, Aurélie les suivit dans les premières heures chaudes de la journée...

 

               Retournés à l'hôtel le soir, ils mangèrent au restaurant, dont la nourriture n'était vraiment pas fameuse. Puis, Aurélie, prétextant un mal de tête, demanda à rester dans la chambre, tandis que son père et son frère planifiaient leur soirée: spectacle de danse traditionnelle, et tout le show, dans un coin paumé de la ville. Éric accepta, et ils partirent, laissant Aurélie seule. Tranquillement, elle se déshabilla et se mit en nuisette, car les nuits sont chaudes, et, évidemment, la climatisation de leur chambre ne marchait pas. Aurélie est une jeune fille très mignonne, blonde, au corps d'adolescente, avec déjà une poitrine très respectable, aux yeux bleus. Elle est assez petite, et semble assez fragile, ce qui lui vaut de se faire assez souvent chamaillée. Elle se mit à fouiller dans son sac pour chercher un paquet de mouchoir, mais elle ne le trouva pas, s'énerva et se mit à déverser le contenu de son sac sur le sol. Elle finit par repérer le paquet de mouchoir, trainant au milieu du reste, et entreprit de ranger ce qui ne l'intéressait pas. Soudain, elle s'arrêta de ranger, interloquée. Elle tendit la main pour ramasser une télécommande bleu vif. Il y avait dessus un bouton de marche/arrêt, et des boutons numérotés de 1 à 15, mais pas de contrôle de volume ou de chaîne. Aurélie la regarda fixement dans sa main, cherchant une explication à sa présence dans son sac...

« bof, ça doit être la télécommande de la télé, vu qu'ils ne nous en ont pas donné à notre arrivée... ».
Continuant à regarder cette télécommande suspecte, elle se dirigea vers son lit, sauta dedans gracieusement, et appuya sur le bouton marche en visant le poste. Rien ne se passa au niveau de la télé, qui resta aussi morne et noire que d'habitude, mais la télécommande, elle, changea légèrement de couleur, devenant plus bleue et transparente... Surprise, Aurélie appuya à nouveau, et elle s'éteint.

« tiens, il faut allumer la télécommande avant d'allumer la télé... C'est pas banal... »

Elle appuya encore une fois, et la télécommande se ralluma, à nouveau de cette étrange manière. Sans savoir pourquoi, Aurélie ressenti une bref frisson le long de l'échine, dans cette pièce pourtant étouffante... elle dirigea la télécommande en direction du poste, et appuya sur le bouton 1. Rien. Déçue, elle tenta le bouton 2, puis le bouton 3. A ce moment, Aurélie eut une impression bizarre. Elle se leva, et s'approcha de la télé... Son impression se confirma rapidement, lorsqu'elle regarda de plus près: la télévision semblait avoir rétrécie! Elle re-vérifia, mais maintenant elle était sure: la télévision était plus petite, prenant moins de place que d'habitude sur le petit meuble... Une idée lui vint à l'esprit: elle se recula, pointant la télécommande sur la télé à nouveau, et appuya sur le bouton 5. Soudainement, la télévision ne mesurait plus que la moitié de sa taille habituelle, se retrouvant ainsi réellement toute petite. Excitée comme une puce, Aurélie appuya sur le bouton 15, et le poste se retrouva tout petit, ridiculement rétrécit, à pas moins de 2 centimètres de hauteur environ... Aurélie rappuya sur le bouton 1, et le poste retrouva sa taille normale. Soudain elle reçu un message sur son portable. Un sms de son frère: « ce soir ptite sœur, ça va être ta fête... Prépare-toi... »

Aurélie sourit, d'un sourire étrangement pervers et malicieux... Puis se recoucha, confortablement, attendant enfin l'heure de sa vengeance...

A suivre...


Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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