Mardi 23 février 2 23 /02 /Fév 14:20
http://www.footmaniacs.com/pics/crushfeet1.jpgchapitre 2: La vengeance et le cauchemar.

Elle fut réveillée par l'arrivée de son père et de son frère. Se relevant, elle vérifia que la télécommande était toujours là, sur la table de chevet. Elle entendit son frère dire bonsoir à son père, puis arriver par ici.
-alors ptite sœur, qui c'est qui va pas dormir de la nuit?...
-je dirais, toi. Répondit-elle, saisissant la télécommande, et le visant et appuyant sur marche.
-haha, mais qu'est-ce que tu fais ma grande? Tu essaye de m'impressionner avec un joujou qui fait de la lumière?... T'aurait pu trouver mieux quand même...
Aurélie ne répondit pas, appuya sur le bouton 15 de la télécommande, et son frère disparut. Ou tout du moins disparut-il de son champ de vision...
Lorsqu'elle se pencha, elle vit son frère, par terre, réduit à environ 12 centimètres de haut, complètement désorienté, la regardant, avec une expression d'effroi figée sur le visage. Riant, Aurélie se pencha et l'attrapa. Il se laissa faire, abasourdi, et vit devant lui le visage immense de sa sœur.
-alors, qui sait qui va passer une trèèèès mauvaise nuit finalement? Dit-elle avec un rire sarcastique.
-qu'est ce que tu as fait? Qu'est-ce qui m'arrive? Dit-il de sa petite voix aiue.
-oh, pas grand chose, juste une petit renversement de situation. Tu sais, en t'attendant, j'ai pensé à pas mal de choses te concernant, mais pour cette nuit, je pense que j'ai trouvé la punition que tu mérites...
-papa va le savoir, et il m'aidera, tu finiras par être bien attrapée un jour.
-je ne crois pas non, je pense plutôt que papa va finir de la même manière, car vois-tu, je trouve qu'il n'a pas été très juste avec moi non plus, et ne m'a pas beaucoup soutenu ces derniers temps...
-mais je
-tatata! Premièrement, on ne va plus parler d'accord, on va être bien sage.
Tout en parlant, elle se pencha vers son sac, et d'une main, sorti du rouleau de sparadrap. Elle en détacha un petit bout avec le dents, qu'elle colla sur la bouche de son frère. Ce dernier se mit à pousser des mugissements quasi-inaudibles, ce qui fit beaucoup rire Aurélie... Elle se mit alors à le serrer très fort dans sa main, jusqu'à ce qu'il vire au rouge puis au bleu. Le pauvre, les poumons compressés par cette main d'acier géante, ne pouvait même plus crier... Aurélie regarda pendant une longue minute l'expression affolée sur le visage de son frère, savourant son début de vengeance, puis relâcha la pression, doucement, laissant son 'petit' frère reprendre son souffle peu à peu
-alors, ça t'as plus? Ah oui, j'oubliais que tu ne pouvais pas répondre, gloussa-t-elle tandis que Damien faisait le plus rapidement possible 'non' de la tête.
-bon, on va passer la la phase deux du plan, hein?... Enfin, j'ai appelé ça la phase deux, mais pour le moment je ne sais pas encore combien il va y en avoir... dit-elle avec un sourire féroce, regardant son frère dans les yeux...
Aurélie posa son frère sur son lit, le plaquant sur le matelas avec sa main. Puis, lentement et précautionneusement, elle s'assit sur lui, sur une fesse, afin de le bloquer et d'avoir les mains libres. Puis, après s'être assurée qu'il ne pouvait plus bouger du tout, elle reprit le sparadrap, et en détacha cinq longues bandes fines. Ensuite elle se leva en reprenant son frère dans sa main, et s'appliqua à en enrouler deux autour de son torse, deux autour de ses jambes et une autour de ses pieds, en les serrant au maximum. De cette manière saucissonné, Damien ne pouvait plus bouger du tout, et même respirer lui était difficile. Il prenait de grandes inspirations paniquées, tandis que sa sœur regardait son œuvre, fière d'elle, souriante et confiante. Enfin elle se rassit, tranquillement, son frère à plat dans sa main ouverte, et le contempla un moment, s'amusant de se tortillement et gémissements...
-mon grand, moi je vais dormir, parce que je suis fatiguée, et qu'il faut bien que je prenne de vraies vacances maintenant. Et toi, tu vas dormir là où est ta place... dit-elle, toujours riante mais inflexible.
Aurélie s'allongea,, retira une de ses chaussettes, et la montra à son frère:
-tu vois, je n'ai pas été une bonne fille, j'ai omis de mettre suffisamment de chaussettes dans mes bagages... Donc... Celle-ci, ça fait plus de deux jours que je la porte! C'est pas une bonne nouvelle ça?
Damien écarquilla ses yeux de stupeur et d'incompréhension... Puis, tandis qu'Aurélie approchait la chaussette de son corps, il se peint sur son visage une grimace de dégoût. Aurélie ouvrit la chaussette, et la positionna à la verticale, puis, après avoir jeté un bref coup d'œil au regard implorant de son frère, elle le laissa tomber dedans, simplement. Puis elle renfila sa chaussette avec délice, savourant le contact de ce corps contre sa plante et ses orteils... Elle réajusta le corps à travers le tissus, afin que sa tête soit enfouie entre deux orteils, puis remonta avec force la chaussette contre sa cheville, pour le plaquer au maximum contre son pied...
Damien était tombé dans la chaussette lorsqu'il vit un pied énorme se diriger droit sur lui. Ne pouvant bouger, il cria, mais sa respiration fut coupé par le choc avec le pied de sa sœur. Il se retrouva tassé au fond de la chaussette, dans une position bizarre.
« ça y est, c'est la fin, je vais mourir. D'asphyxie. A cause de cette sadique. », se dit-il intérieurement...
Soudain une main vient e retourner et le plaquer contre la peau moite et puante, et sa tête s'encastra entre le gros orteil et son voisin. De près, la puanteur paraissait terrible, il eut quelques hauts-le-cœur, et vit devant lui quelques particules de poussière et de peau morte, qui renforcèrent sa nausée... Tout un tas de questions lui passaient à travers l'esprit: Comment avait-elle fait ça? Pourquoi ça tombait sur lui? Comment sa petite sœur, si fragile, si faible, était devenue aussi sadique et perverse?... Il se maudit de sa conduite, un peu brusque, il est vrai, mais qui ne méritait pas un tel châtiment... Il s'aperçut qu'il pouvait respirer, mais en prenant de plus grandes inspirations encore, ce qui augmentait son dégoût, et l'obligeait à sentir l'odeur musquée et acide du pied immense auquel il était accolé.
Aurélie, aux anges, détendue, se mit sous les draps, et éteint sa lampe de chevet. Elle sentit avec délice le souffle d'air chaud qui lui passait entre les orteils, puis elle ferma les yeux, et s'endormit vite, pensant à toutes les horreurs qu'elle pourrait lui faire subir. Pour toujours.

A suivre...
Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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