Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 20:09

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Elle partit dans la petite kitchenette attenante aux deux chambres à coucher, et prit une petite coupelle qu’elle déposa  par terre. Elle récupéra ensuite le père qu’elle déposa avec son fils à côté de la coupelle.
-Alors voilà, ton gage c’est que tu vas devoir manger ce que je mets dans la coupelle, peu importe ce qu’il y a dedans.

Pendant un moment, Damien se sentit soulagé par cette nouvelle. De la nourriture, il pouvait gérer. Mais il finit par se dire que si sa sœur avait pu être aussi diabolique avant, elle risquait de lui faire avaler à peu près n’importe quoi…

-et si je refuse ?

-Demande la permission avant de prendre la parole ! hurla Aurélie.

Elle le prit dans sa main, l’apporta devant son visage. Puis elle se mit à serrer le poing de plus en plus fort, compressant d’abord les poumons de Damien qui ne put plus respirer. Puis très vite, il sentit ses os commencer à craquer.

-La prochaine fois que tu oublies de demander la permission, je te promets que je te presse comme un citron. Et peut-être même que j’en mangerai la pulpe !

La pression était insupportable, plus encore que de subir le regard narquois d’Aurélie. Il avait l’impression que ses yeux allaient sortir de ses orbites, et que ses organes allaient se mélanger entre eux… Puis Aurélie desserra le poing, et le reposa par terre. Il reprit son souffle tant bien que mal, en se tenant les côtes. La douleur avait été presque insoutenable, et maintenant elle était lancinante dans tout son torse. Il finit par se redresser.

-Aurélie…

-Déesse Aurélie !

-Déesse Aurélie, se reprit-il, puis-je humblement prendre la parole ?

-Mais je t’en prie, dit-elle avec un ton mordant.

-Si je refuse de manger, que se passera-t-il ?

-Eh bien, petit esclave, c’est une très bonne question, que tu as bien fait de poser plutôt que de le découvrir par toi-même. Je ne te dirai rien, sinon que si tu refuses, ce petit passage de compression dans ma main va te sembler être une caresse comparé à ce qui t’arrivera.

Damien déglutit. Il redoutait le pire. Même pas la mort, car après tout, mourir serait la fin des souffrances, mais il soupçonnait sa sœur de pouvoir les faire durer longtemps. Il n’arrivait pas à croire qu’elle était devenue cette folle sadique…

Aurélie alla prendre une de ses chaussette, qu’elle ouvrit largement pour y faire tomber le père et le frère, d’une hauteur assez appréciable. Elle les regarda chuter au fond, se tomber dessus à grand renfort de bousculades involontaires. Puis elle ferma la chaussette par un nœud, qu’elle posa à côté de la coupelle, et elle partit en criant : « je reviens, bientôt pour ton gage, ne t’en fais pas, et ne bougez pas, hein ! »

Ca, ne pas bouger, ça allait être difficile de faire autrement, car la chaussette, même assez légère, était très handicapante pour se déplacer. Par contre, s’en faire, là il n’était pas sûr de réussir à calmer son anxiété face à l’imminence de son gage… Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir lui faire manger ? Damien et son père restèrent muets la plupart du temps, ne parlant que pour s’inquiéter de la santé de l’autre.

Ils entendirent enfin, après une bonne dizaine de minute, la porte claquer. Aurélie revenait, joviale, avec un sachet dans les mains.

Elle le posa sur la table, et déversa son contenu. C’était un petit déjeuner, avec une petite bouteille de jus d’orange, des pains au chocolat, et des doses de confiture.
-j’ai pris ça en bas, c’est ta copine l’animatrice qui me les as donnés. Elle a l’air gentille, elle m’a demandé de tes nouvelles, papa. Je lui ai dit que tu étais dans une petite forme… haha…

Le père releva la tête pour regarder le sourire de sa fille entre les mailles de la chaussette. Puis ils furent retirés de cette dernière et posés sur la table, à côté du petit dèj’, la coupelle avec eux. En suite, Aurélie se mit à manger, sous l’œil affamé de son frère et son père, qui n’avaient pas mangés eux-mêmes depuis un moment. Damien, notamment, n’avait pas été nourri depuis plus de 24 heures, et avait le ventre douloureux. Il regarda sa sœur, implorant du regard la géante. Mais Aurélie commençait à manger, tranquillement. Puis elle regarda Damien, et dit avec une moue faussement désolée :

-ooh, bah alors, ptit frère, on a faim ? On a envie d’un morceau ?

-s’il te… s’il vous plait… déesse Aurélie, puis-je avoir un peu à manger ?

-Pour cette fois, je te fais une faveur, mais il va falloir être bien obéissant après, hein ?

Damien hocha vivement la tête, regardant le morceau de petit pain qu’Aurélie venait de détacher. Elle l’approcha de la coupelle, mais, avant de l’y déposer, sembla réfléchir. Elle hésita, puis finalement, regarda Damien dans les yeux, et porta le morceau a sa bouche, le mâchant langoureusement, comme si elle le dégustait. Cette torture mentale mettait les nerfs de Damien à rude épreuve, car il sentait la jouissance de sa sœur, mais n’osait pas dire un mot de peur de perdre ses bonnes grâces, si l’on peut dire ça.

-Bon, je te le donne quand même, aller… dit aurélie en finissant de mâcher le morceau.

Elle le retira de sa bouche. Le morceau était une masse informe marronnasse, rattachée à la bouche par quelques fils de salive, vite rompus du fait de son éloignement rapide. Elle le déposa sur la coupelle. L’odeur de la salive dégouta Damien, mais d’un autre côté, elle était mêlée à l’odeur du petit pain, qui lui mettait la bave aux lèvres. Damien s’approcha, son père le regardant avec surprise, et il détacha un petit bout avec sa main.

-ah non, s’écria Aurélie, ça fait partie de ton gage, il faut que tu le manges sans les mains.

Elle avait pris son ton de petite fille, et Damien se tourna vers elle avec une expression suppliante, mais rien n’y fit. Il se résigna à plonger la tête dans la masse chaude et gluante. Malgré tout, il avait beau être dégouté, il mangea très vite l’énorme morceau (proportionnellement à lui, il faisait plus qu’un seul repas). Il n’avançait pas vite, vu la taille, et Aurélie essaya d’y remédier, pimentant pour elle la situation : elle prit une gorgée de jus, puis elle se pencha au dessus de son frère, qui mangeait tête la première dans la coupelle. Elle se positionna au dessus de lui et commença à recracher le jus sur lui.

Damien, tout à sa tâche, se sentit qu’au dernier moment l’écoulement de liquide sur lui, et relevant la tête, s’étouffa à moitié en crachant. Aurélie rit beaucoup de sa farce, tandis que le père regardait avec inquiétude les efforts du fils pour reprendre son souffle

-Alors, ça passe mieux comme ça, s’enquit-elle, en plus c’est meilleur n’est-ce pas ?

Et elle repartit dans un rire mi-sadique, mi-enfantin.

-Bon, maintenant, t’en a mis partout, alors tu nettoies autour, et sans les mains !

Damien se mit péniblement à genoux, et commença à lécher le jus autour de la coupelle, tandis qu’Aurélie prenait le père à part :

-Tu en as de la chance papa, pour le moment je ne te fais pas beaucoup participer, mais j’attends un peu que tu perdes une épreuve ou que tu fasses une erreur quelconque… la punition n’en sera que plus méritée et délicieuse… pour moi bien sûr !

Damien finit de lécher autour de la coupelle, puis se remit sur pied pour manger la fin du morceau craché. Pendant ce temps, Aurélie finit elle aussi de manger son petit-déjeuner. Ils finirent en même temps.

-n’est-ce pas synchronisé, hein ?... dit Aurélie en s’essuyant la bouche, geste qu’elle trouvait amusant de faire devant le visage de son frère, recouvert de sa propre salive…

-Nous allons pouvoir passer à la deuxième épreuve… ah, et petit frère, je ne t’avais pas dit, mais ce gage n’est pas terminé…

Elle réfléchit une minute.

-En fait, vu ta pathétique performance à l’épreuve, je propose qu’il soit considéré comme ‘gage à vie’, à savoir manger tout ce que je te donne sans rechigner et en me remerciant, qui vote pour ?

Aurélie leva la main, seule, car les deux petits êtres restaient interdits.

-C’est donc voté à la majorité. Au passage, tu ne m’as pas remercié, et pour cela tu auras un autre handicap pour la prochaine épreuve.

Damien n’en croyait pas ses oreilles. Il resta abasourdi devant la cruauté de sa sœur, mais réfléchit et décida de ne pas aggraver son cas :

-merci déesse Aurélie pour ce repas et pour le handicap que vous me donnez.

Aurélie haussa un sourcil. Elle ne pensait pas qu’elle allait le briser aussi facilement. Mais tant mieux, se dit-elle, car même s’il est serviable maintenant, il n’en sera pas moins forcé de lui obéir par la suite…

Par carpette12
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Commentaires

Bravo pour ton histoire il voudrait bien être a la palce du frere  à plat ventre et embrasser tes jolie pieds. merci ton histoire continue et nous fait tripper de plaisir merci a toi très chère lache pas, continue se beau travaille.

commentaire n° :1 posté par : Henri Kenney le: 07/12/2011 à 21h00

désolé de casser le délire les gars, mais je suis un mec...

(je préfère pas entretenir le doute comme certains mec le font donc je suis honnête)

 

huhu.

commentaire n° :2 posté par : lilliput le: 07/12/2011 à 21h54

Bonjour a toi lache pas ton histoire elle est fabuleuse original bravo on a hâte au chapitre 7 merci beaucoup.

commentaire n° :3 posté par : Henri Kenney le: 06/04/2012 à 05h59

Bonjour  quand va tu écrire le chapitre 07 on adore ton histoire on affamer on hâte a la suite il ya rien depuis 2012 on est en août 2013 une suite  s v p merci

commentaire n° :4 posté par : Henri Kenny le: 15/08/2013 à 09h53

a quand le chapitre 07 liliput  s'il-Vous-Plait ton histoire est incroyablement bonne

commentaire n° :5 posté par : Henri Kenney le: 22/08/2014 à 01h57

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