Dimanche 25 août 7 25 /08 /Août 16:05

Bonjour à tous!

 

J'ai commencé une autre histoire en parallèle de la télécommande. Pas de giantess cette fois (en tout cas pour l'instant ce n'est pas prévu mais qui sait...), mais elle vous plaira peut-être! Voici les premiers chapitres:

 

 

Je vais vous raconter comment tout à commencé avec Émilie. D'abord, laissez-moi me présenter: Je m’appelle Nicolas, J'ai 22 ans, et je suis un garçon brun aux yeux verts. Je suis étudiant en psycho, ce qui n'a pas beaucoup d'importance pour l'histoire. Passons. Je ne suis pas très grand (1m73 ou approchant), et pas très épais (autour des 55-60 kilos). On ne peut pas dire que je suis maigre, mais disons que je suis fin. Ça a une petite importance pour la suite.

Dans ma classe, il y a une amie à moi, qui s'appelle Émilie. Émilie est une fille joviale mais un peu timide, une belle brune au yeux marrons. Nous sommes relativement proches, car nous nous croisons souvent aux soirées, et nous avons une bonne alchimie, dirons nous. Même s'il ne s'est jamais rien passé entre nous.
Émilie est une fille petite, et assez dodue, pour ne pas dire plutôt forte. Elle mesure dans les 1m60, et, de mon expérience, je dirais qu'elle pèse aux alentours de 70 kilos. Elle a des hanches très larges, et, ma foi, un cul très rebondi. Mais ce n'est pas pour me déplaire.

En effet, depuis toujours je suis attiré par les femmes un peu fortes, car je suis soumis de nature, et j'aime beaucoup qu'une femme m'utilise comme un objet, une chaise, un repose-pied... C'est un délire bizarre, je n'en ai jamais parlé à personne. Je suis aussi fétichiste du pied, ce qui ne m'aide pas beaucoup plus. Émilie ne sait pas tout ça. Enfin, ne savait pas.

Un jour j'étais en soirée avec Émilie, chez des amis à moi. J'avais un peu bu, et, plutôt éméché, je m'amusait bien, je plaisantais pas mal avec elle de la manière dont j'étais toujours un peu discret, un peu effacé. Je disais en rigolant c'était probablement mon côté «hasoumisha». Je ne m'en suis pas aperçu à ce moment-là, mais je pense que ça a dû avoir un impact sur elle, et que c'est là que tout à commencé. Notamment lorsque j'ai parlé de mon entraînement sportif (je fais un peu d'abdos et de pompes), et de la manière dont je trouvais rigolo d'avoir plus d'abdos et de pouvoir mieux résister au poids... (mon objectif était de la faire réagir, mais je pensais alors qu'elle n'avait même pas remarqué)
A la fin de la soirée, je squattais le lit double d'un ami, qui dormait à côté de moi (l'hôte de la soirée en fait). Et Il avait installé pour Émilie, qui dormait là car elle habitait comme moi un peu loin, un matelas par terre, dans la chambre. Nous nous sommes endormis tous les trois. J’étais un peu barbouillé à cause de l'alcool, mais rien de grave.

Le lendemain matin, Émilie fut la première à se lever et elle se mit à rassembler ses affaires pour partir. Moi je ne dormais que d'un œil, car j'avais été réveillé par ses déplacements. Le lit sur lequel j'étais coupait un peu la chambre en deux, mon pote dormais du côté de son ordinateur et moi du côté de la porte. Je dormais sur le ventre, sans couverture parce que mon pote avait tout pris... Émilie, après avoir ramassé son manteau, arriva au niveau de la porte, donc à côté de moi, puis elle s'aperçut que son écharpe était sur la petite table de l'autre côté du lit, devant l'ordinateur. Or, la chambre était très mal rangée, et il était très difficile de s'y déplacer sans rien renverser.
De mon œil semi-ouvert, je voyais Émilie hésiter à faire le tour du lit pour récupérer son écharpe, alors elle commença à se pencher par dessus le lit pour essayer de l'attraper. Étant assez petite, elle n'y arrivait pas, et elle commençait à prendre appui avec son genou à côté de moi, sur le matelas. Mais rien n'y fit, elle était encore trop loin.
Et alors là, je n'en cru pas mes yeux, elle me regarda en souriant. Moi, ma paupière presque fermée, j'étais presque sûr qu'elle ne m'avait pas vu la voir. Mais après m'avoir souri, elle posa son genou sur mon ventre. Puis elle se mit à y appliquer de plus en plus de poids.
Moi, dans mon malaise post-alcoolisé, j'essayais de ne pas ressentir de douleur pour m'éviter d'avoir des hauts-le cœur, mais son genou s’enfonçait de plus en plus dans mon ventre. Bien sûr je n'avais pas eu le temps de contracter me abdos, et puis je voulais passer pour quelqu'un d'endormi, donc je continuais de faire semblant. Elle continua jusqu'à avoir tout son poids sur ce genou, et se pencha plus loin pour enfin récupérer son écharpe. Mais, après l'avoir en main, elle resta longtemps sur ce genou, avec un sourire en coin.
J'étais aux anges. Cela faisait mal et mes entrailles me hurlait d'arrêter de faire semblant de dormir pour lui dire d'arrêter, mais je ne l'aurais fait pour rien au monde.

Émilie, enfin, est descendue du lit (et de moi), pour se retourner et enfiler son manteau. Elle pouffait presque de rire toute seule.

Elle repéra ses chaussures, à côté de la porte, et commenca à les mettre. Elle avait un peu de mal parce qu'on ne pouvait pas vraiment s’asseoir par terre, et le nombre d'objets au sol emlpêchait d'être très table. Moi j'observais toujours, quand je la vis s'arrêter net, se retourner, et me regarder en souriant, et en se mordant la lèvre.
Puis, avec un naturel absolu, elle s'approcha, et s’assit carrément sur mon ventre, pour mettre ses chaussures.

Je pus observer son cul couler en moi. J'avais l'impression qu'elle allait toucher le matelas, et que moi j'allais m'aplatir définitivement, à vie. Cette sensation était exquise, je profitais au maximum, même si je sentais que ça plus l'alcool, ça n'allait pas me faire du bien.

Elle mit son temps pour mettre ses chaussures, puis se releva à nouveau. Elle se retourna, et de ma paupière semi-fermée, j'aurais juré qu'elle me faisait un clin d’œil.

Puis elle sortit de la pièce. Je me détendit à nouveau, et me félicitait de ce miracle soudain, de cette situation inespérée.

Ce que je ne savais pas, c'est que ça ne faisait que commencer...

 

Après la fameuse soirée, une semaine de cours passa, et je recroisais Emilie régulièrement... Nous avons quelques cours en communs, comme l'Allemand ou le Latin.

Et c'est justement durant le dernier cours de Latin de la semaine que j'ai pu la revoir. Nous devions regarder un documentaire projeté dans la bibliothèque par notre prof, dont le sujet m'échappe totalement. Mais c'est plutôt normal...
Avec Emilie nous sommes arrivés en retard tous les deux. Par coïncidence, on s'est retrouvés devant la bibliothèque, à moitié essoufflés. Après de brèves salutations, nous sommes entrés. La salle était plongée dans le noir, et le documentaire commençait. La plupart des élèves étaient assis par terre, et il n'y avais plus vraiment de place, à part derrière les tables rangées au fond de la salle. C'est là que la prof nous indiqua d'aller, d'un geste rapide et en nous faisant les gros yeux. Puis elle se retourna vers la télévision.

Emilie me poussa gentiment pour me faire avancer, et nous nous sommes retrouvés derrière la rangée de table, assez loin de la télévision, et derrière les autres élèves.
Il n'y avait aucune chaise. Emilie se tourna vers moi:

-On se met où?
-Je sais pas, on peut peut-être se mettre en dessous des tables?


Je me penchai pour regarder en dessous, et pour cela je finis par me mettre à quatre pattes. Les dos des autres élèves bouchaient la vue, on ne pouvait pas se mettre là. Mais avant que je puisse me relever, Emilie posa une main sur mon épaule, se pencha et me chuchota à l'oreille:

-bouge pas, j'ai trouvé une solution

Je restais là, interdit, à quatre pattes, face à la table (l'avant de mon corps était en partie en dessous tandis que l'arrière dépassait vers elle), et je la sentis m'enjamber pour se retrouver debout avec mon corps entre ses cuisses. Alors que je commençais à trembler d'excitation, elle commenca s'asseoir sur moi, au milieu de mon dos. Son poids creusa rapidement ma colonne, et je dû contracter mes abdos car cela fit mal très vite. J'avais l'impression que j'allais me casser en deux...

Elle passa une main dans mes cheveux, puis posa ses coudes sur la table, et se mit à regarder le documentaire.
En dessous, je peinais déjà à la maintenir, et pourtant ça faisait que 30 secondes qu'elle se tenait là, les jambes de part et d'autre de mon corps.
Au bout de 3 minutes je ne tremblais plus d'excitation mais de fatigue musculaire. Je ne suis pas très faible ordinairement mais le fait qu'elle me creuse le dos de tout son poids me demandait un effort constant de contraction musculaire, et je tenais difficilement...
Emilie, de son côté, se reposait tranquillement, et si je l'avais sentie un peu tendue au départ, maintenant elle paraissait complètement décontractée... Et apparemment plus du tout concernée par le fait qu'elle mettait tout son poids sur moi!

Au bout de 5 minutes, j'entendis ses chaussures tomber au sol. Elle portait des chaussures ouvertes avec un petit talon en bois, le genre que j'aime particulièrement... Je sentis ses jambes se déplacer, ses pieds se soulevèrent du sol et elle posa ses chevilles sur mes épaules! J'avais de part et d'autre de ma tête ses mignons petits pieds (elle fait du 36), qui dégageaient une légère odeur de transpiration, mais ça me mit dans tous mes états! Je sentais mon érection palpiter dans mon pantalon, c'en était presque douloureux...
Emilie avait les deux jambes allongées sur mon dos jusque mes épaules. Elle est plutôt petite, et du coup cette position était plutôt confortable pour elle... Et finalement pour moi aussi, parce que son poids s'était plus réparti sur mes épaules et mon cul, du coup mon dos me faisait nettement moins mal qu'avant...

Le documentaire dura encore pendant une bonne demi-heure, après quoi la prof ralluma les lumières mais Emilie ne se levait toujours pas! Puisque personne ne bougeait je restait caché sous la table, mais quelqu'un allait tôt ou tard s’apercevoir de mon absence! La prof commença à faire des commentaires sur le docu, et je sentis Emilie sortir sa trousse de son sac et prendre des notes. Pendant ce temps elle jouait avec ses pieds, me caressant les joues et parfois même en les réunissant sous mon nez! La première fois je pris une grande inspiration et je l'entendis pouffer, puis elle recommença et je continuais à respirer à pleins poumons cette odeur tout droit sortie du paradis. A la fin du cours, tout le monde se leva, y compris Emilie, et je sortis le plus discrètement possible d'en dessous de la table. Apparemment personne ne s'était rendu compte de rien. Je me relevais, face à elle. Elle se mit sur la pointe des pieds et m'embrassa doucement sur la joue. Puis elle me lança un grand sourire. Puis, narquoise:

-Ca va? T'as apprécié le film?
-La meilleure séance de ciné de ma vie.
-C'était confortable?
-Je me sens à la fois détendu et en pleine forme!


J'avais le dos en compote, les genoux et les poignets très douloureux, et j'avais très mal aux abdos. Mais mon sourire était sincère...

-Ah bon? Parfait. Ca veut dire que tu es capable de continuer.

Continuer? Je restais silencieux, et la regarda avec un air étonné. Son expression se fit plus sérieuse:

-Tiens, sois galant un peu.

Elle me donna son lourd sac ainsi que ses chaussures, et elle se dirigea, pieds nus, vers la sortie. Je restais dans la bibliothèque, abasourdi, ne bougeant pas d'un pouce. Elle se retourna:

-Tu viens oui? Je t'invite à la maison!

Et elle sourit à nouveau. Mais dans ses yeux brillait une lueur qui me fit, pendant un bref instant, froid dans le dos...

 

Nous arrivâmes chez elle assez rapidement, car elle habitait à quelques pâtés de maisons de la fac. J'avais sur moi son sac que je tenais contre ma poitrine, et dans ma main droite ses deux chaussures. Les quelques personnes qui nous ont croisé nous regardaient avec étonnement, Emilie 5 mètres devant moi, qui marchait d'un pas léger et presque dansant, tandis que j'essayais de faire bonne figure...

Elle sortit les clefs de sa poche, ouvrit et entra. Elle m'indiqua d'un geste nonchalant où poser ce que j'avais dans les mains. Je déposait tout ça par terre dans le couloir, et Emilie entra dans son salon. Je la suivis et la regarda s'assoir sur le canapé. Ses pieds ne touchaient pas par terre, et elle balançait ses jambes comme une enfant...

Je restai là au milieu du salon. Emilie me regarda, tout sourire :

-Eh ben quoi, assieds-toi !

Je m'approchais du canapé quand elle interrompis mon mouvement d'un geste brusque :

-Pas là. Devant moi !

Je restais un moment interdit, ne sachant que faire. Je me mis devant elle puis chercha des yeux une chaise, tout en tripotant nerveusement ma chemise.
Emilie soupira, puis se leva du canapé pour se mettre devant moi, posa ses mains sur mes épaules, pourtant au dessus d'elle, et appuya dessus. Je compris rapidement et m'assis au sol, ses mains toujours sur mes épaules. Maintenant penchée et appuyée sur moi, elle me fixa intensément dans les yeux, puis fit une moue et retourna s'asseoir.
Je ne pouvais m'empêcher de fixer ses pieds et leur mouvement de balancier. Elle s'en aperçut et tendis lentement les jambes vers moi, touchant presque mon visage, puis les croisa.

-Bon, je vais pas y aller par quatre chemins.

Je sursautais en entendant sa voix, car j'étais à ce moment perdu dans la contemplation de ses pieds. Très jolis, par ailleurs. Petits et un peu boudinés, mais avec des orteils très bien rangés (elle a le pied égyptien), et une arche très belle. Sa peau est très blanche et elle a un petit grain de beauté au milieu du pied droit. De là où j'étais je pouvais voir un peu la plante de son pied droit, qui était très sale du fait qu'elle ait marché pied nus. Mais cela n'influait pas sur ma fascination...

Elle sourit en me voyant sursauter.

-J'avais remarqué que tu regardais souvent mes pieds ou mes chaussures, et que tu étais quelqu'un de très serviable, et docile...

(je l'avais en effet plusieurs fois aidé à porter ses livres et même proposé de lui porter son sac)

-J'en ai déduit que tu étais une personne soumise.

Je baissais les yeux.

-haha voilà. Maintenant que mes soupçons sont confirmés, même s'ils le sont depuis un bon moment, je vais pouvoir t'expliquer deux ou trois choses. Mais d'abord, j'ai un dernier test que j'aimerais que tu passes.

Test ? Comment ça un test ? Les deux autres évènements étaient des tests eux aussi ? Les ais-je réussis ? J'imagine que oui si j'en suis à en passer un dernier... Je décidais d'accepter totalement le fait qu'elle m'ait cerné :

-Tout ce que tu voudras.

Elle sourit largement, son œil s'éclaira et, sèchement elle me dit :

-embrasse mon pied.

Glacé de stupeur, je me ressaisi rapidement et posa ma bouche sur le dessus de son pied droit, à côté du grain de beauté. J'essayais de faire le baiser le plus doux possible, laissant mes lèvres en suspend puis les posant délicatement pour enfin me retirer et la regarder timidement.

-très bien. C'était la première partie du test. Je te donne 15. Sur 20.

Elle semblait jouir comme une gamine qui joue à la maitresse...

-Mais la deuxième partie est plus difficile... Je me demande si tu réussiras...
Elle me faisait languir. Elle adorait ça. J'en étais certain, ça se voyait sur son visage. C'est limite si elle ne se léchait pas les lèvres comme une prédatrice. Elle tendit soudain la jambe vers moi, sa plante face à moi.

-passe ta langue sous mon pied.

Son ton était dur, sans appel. Elle avait l'air de prendre confiance en elle, tandis que je perdais totalement la mienne.
J'hésitais. Faire ça signait complètement ma soumission. C'étais le point de non retour, plus possible de faire marche arrière si je faisais ça... Mais c'était la chance de ma vie.

Je la vis hausser un sourcil devant mon hésitation. En réaction j'approchais rapidement mon visage, et, tirant la langue je la fit glisser du talon à la pointe de ses orteils, laissant une trace plus claire que le reste de son pied sale. Je restais intentionnellement la langue un peu tirée devant elle, qu'elle puisse y voir la saleté que j'avais probablement accumulé, pour la rentrer ensuite. Je fermais les yeux comme si je goutais un met succulent.
En réalité ce ne fut pas bon, j'avais l'impression d'avoir réellement léché un trottoir, pas beaucoup de goût mais j'avais quelques particules de poussière qui se collait à mon palais. J'avalais ma salive pour m'en débarrasser.

Lorsque je rouvris les yeux, elle semblait ravie. Puis elle fronça les sourcils

-Pas mal, je te mets 12... à cause de l'hésitation.

Je fut presque déçu de perdre à son petit jeu de manipulation. Pour la peine je repassais un coup de langue sur son pied toujours tendu.

-Bon, allez... 13. Elle fit un clin d'oeil.

-parfait, continua-t-elle, tu as passé les tests. C'est un peu juste, il va falloir que je te forme un peu plus si je veux un meilleur esclave mais ça devrait aller...

Je tiquais sur le mot « esclave ». Ca y était, j'étais en plein dedans. Plus de marche arrière possible. Tant pis. On verra bien.

-Faisons ça de manière un peu officielle. Ahem... Je t'adoube officiellement esclave de moi, Emilie, et dorénavant ta vie m'appartient, ainsi que tes décisions. Tes désirs seront miens et tu endureras tout, absolument tout, pour mon propre plaisir.

Ce faisant elle posa son pied tendu sur mon épaule gauche puis droite, comme si elle m'adoubait, pour enfin me le présenter, les orteils à quelques centimètres de ma bouche :

-Si tu acceptes cet honneur que je t'accorde, scelle le contrat par un baiser.

Ce que je fis, bien entendu, avec empressement. Tout ça m'avait excité au plus haut point. Je me voulait à ce moment plus que tout au monde lui appartenir, et ce jusqu'à la mort.

-Merci Maîtresse, tentais-je.

Elle sourit à ce mot, mais son pied me frappa le visage avec force, si bien que j'en eut presque la tête qui tourne.

-A partir de maintenant tu ne parleras plus que si je te le demande, et jamais dans d'autre circonstance, compris ?

-Oui maîtresse.

-Bien.

Elle se leva, sortit de la pièce. Je n'osais pas bouger, et donc je restais dans ma position. Je la sentis venir derrière moi, et quelque chose de froid se posa contre mon cou.

-Voici son collier, il indique que tu m'appartiens. Tu le porteras tout le temps, même à la fac. Il n'est pas très gros, il sera facile à cacher.

Puis elle se rassit sur le canapé. Elle avait à la main un paquet de chips et dans l'autre la télécommande de l'écran plat qui se trouvait derrière moi. Elle l'alluma puis ouvrit son paquet.

-Ta première tâche, esclave, sera de me laver les pieds. Ils sont tout sales, comme tu as pu le constater.

Je restais un moment sans bouger.

-Allez, exécution, je te donne la permission de les toucher pour cela.

Je l'interrogeais du regard.
-quoi, qu'est-ce qu'il y a ?

Je pris ça pour une permission de parler :

-Ou puis-je trouver de l'eau et une bassine maîtresse ?

Elle me regarda froidement. Elle posa ses chips, puis elle me fit signe d'avancer avec sa main. J'avançais sur mes genoux, jusqu'à avoir le visage un peu au dessus des siens.
Elle m'attrapa alors à la gorge d'une main tandis que l'autre me gifla avec une force telle que mon oreille se boucha presque. Puis elle me gifla tout en parlant:

-Tu te moques de moi n'est-ce pas ? Gifle. T'as pas compris ou quoi ? Gifle. Tu penses que j'en ai quelque chose à foutre de te voir me laver les pieds à l'eau ? Gifle.

Ma joue brulait et je commençait à avoir les larmes aux yeux, presque de surprise. Elle ne criait pas vraiment mais son ton était très sec et mordant.

-Te fais pas plus bête que tu ne l'es, et utilise ta langue. Gifle.

Elle me lâcha et je reculais un peu, apeuré. Je ne l'avais jamais vu comme ça. Mais elle n'avait pas l'air très en colère, plutôt jouissant de sa position et en profitant abusivement. Elle avait un demi-sourire et ses yeux brillaient d'excitation. Puis elle me tendit son pied droit, sans autre indication.

Je le pris délicatement avec ma main gauche, et commença à passer ma langue dessous, la rentrant noire pour la ressortir rose et recommencer. Au fur et à mesure cependant, elle était de moins en moins rose. Je terminais ce pied, puis le reposait au sol pour soulever l'autre jambe délicatement. Elle ne fit aucun effort pour m'aider et tout le temps du nettoyage je dus supporter son poids.

Alors que je terminais de nettoyer l'autre pied, je l'aperçu, les yeux fixés sur la télévision, se mordant la lèvre, et sa main gauche plongée dans son pantalon...

 

Lorsque j'eus terminé, je remis son pied sur le sol, et je restais à genoux, la tête baissée. Emilie, qui avait commencé à gémir, s'interrompit et me fis signe de m'allonger au sol. Je m'exécutai, me mis sur le dos, ma tête entre ses deux pieds.

-Une princesse comme moi ne peut quand même pas laisser ses pieds sur un sol si sale, surtout après qu'ils soient aussi propres...

Elle sourit et, sans avertissement les posa sur mon visage. Ce fit un peu mal car, ses pieds étant petits (36 je dirais), ses talons vinrent se caler directement sur mes yeux, appuyant dessus. Peu après, je commençait même à avoir quelques flashs, car elle ne faisait pas d'effort pour être délicate et ses jambes pesaient lourds sur mon visage...
Je respirais difficilement aussi, car ses plantes était devant ma bouche et ses orteils sur mon menton... Au bout d'une dizaine de minutes, je la sentis se relever un peu, en mettant encore plus de poids sur mon visage:

-garde les yeux fermés et ouvre la bouche!

Elle prit une voix enfantine pour me dire ça, comme un jeu de cour de récréation... Elle enleva alors ses pieds et j'ouvrai la bouche en grand.

Je sentis alors sa main passer sous mon nez. Une odeur forte mais agréable fit frissonner mes narines. Puis elle plongea ses doigts dans ma bouche.

-lèche!

Je léchait et suçait ses doigts, qui avaient le goût... de son jus. Elle avait enlevé sa main de sa culotte pour me la faire nettoyer. Après l'avoir compris je me mit à sucer ses doigts avec plus de passion, ce qui la fit rire. Elle retira sa main, et je gardais ma bouche ouverte, puis elle plongea l'extrémité de son pied dedans.

Plus grand que sa main, j'eus du mal à ouvrir la bouche suffisamment grand pour y faire rentrer tous les orteils. Néanmoins je réussis, et elle s'amusa a faire des va-et vient avec, tandis que j'essayais tant bien que mal de respirer avec son autre pied sur mon nez...
A un moment, elle se mit à enfoncer son pied de plus en plus loin dans ma gorge, cruellement. Elle enfonçait toujours plus, malgré mes débuts de spasmes et de réflexes nauséeux. Elle mis encore plus de poids dessus. J'avais l'impression que ma mâchoire allait se briser. Lorsqu'elle agita ses orteils dans ma gorge je me mis à suffoquer, à défaut de pouvoir tousser, et des larmes me vinrent aux yeux. J'essayait de tourner la tête mais elle l'avait prise entre ses mains et la maintenait fermement. Mes poumons brulaient à cause du manque d'oxygène, et j'allais enlever son pieds avec mes mains quand elle l'enleva d'elle-même.
Je me roulai alors en boule sur le côté en toussant et crachant de toutes mes forces pendant une bonne minute, tandis qu'elle me regardais avec amusement.
-il va falloir que je t'entraine un peu à ça. Tu sais, j'y prends beaucoup de plaisir, donc il va falloir que tu fasses des efforts pour le supporter. En tout cas plus longtemps. Tu n'as même pas tenu 30 secondes.

30 secondes? J'était sûr que ça faisait plus longtemps. Mais finalement, impossible à dire, elle pouvait très bien mentir de toute façon, puisqu'elle avait le contrôle. Je n'avais pas mon mot à dire...

Cette fille était folle, et moi encore plus fou d'avoir accepté de lui appartenir...

-Remets-toi en place. Et rouvre la bouche.

Je me remis tant bien que mal en place, fermai les yeux et ouvrai la bouche, avec beaucoup d'appréhension. Ca avait été très douloureux, je ne voulais pas d'une deuxième fournée...

Emilie se pencha et, après s'être positionnée au dessus de moi, se racla la gorge et cracha.

Je sentis la salive tomber dans ma bouche, réprimai un haut-le-coeur...

-ferme la bouche, mais n'avale pas.

J'obtempérai. Elle replaça ses pieds sur mon visage, lourdement et sans aucun égard pour moi, et continua de regarder la télévision.

Je gardait son crachat pendant une bonne vingtaine de minutes avant qu'elle ne se décide à me le faire avaler. Puis elle continua de regarder son émission jusqu'à la fin, sans se soucier de moi.

Lorsqu'elle enleva ses pied de mon visage, je ne vis que du blanc pendant une ou deux minutes, avant que mes vision se rétablisse. Durant ce temps elle était partie à la cuisine se faire réchauffer un plat, car j'entendais le micro-onde de là où j'étais. Lorsqu'elle revint, avec un plateau sur lequel était posé une assiette et un verre, elle resta un moment à me regarder, debout à côté de moi.

-allonge-toi sur le canapé.

C'était un grand canapé en angle, donc j'avais largement la place de m'y mettre complètement. Je me mis à genoux puis grimpa sur le canapé pour m'y allonger sur le dos.

Emilie se positionna debout devant ma poitrine, puis se retourna. Elle jeta un œil derrière elle, puis elle se laissa tomber sur moi.
J'eus le souffle coupé, et laissai échapper un «ouuff» qui la fit ricaner. Elle tortilla un peu des fesse pour se mettre à l'aise et me regarda, l'oeil brillant.

-Je vais mettre un film, donc j'espère que tu est installé confortablement...

Elle me jeta un regard moqueur

-Tourne la tête. Et ne la bouge plus jusqu'à la fin où je t'assure que tu t'en souviendra.

Je tournais ma tête vers la droite, face à la télévision. Elle posa le plateau dessus. Il était très chaud et mon oreille se mit à brûler mais je restais stoïque. De plus, son cul était posé sur quasiment toute ma poitrine, ce qui m'obliger à faire beaucoup d'efforts pour prendre une respiration. Le plateau tenait mal en équilibre et le verre posé dessus était très instable, mais je m'efforçait d'avoir une posture droite.

Emilie, elle, sirotait sa grenadine en mangeant des lasagnes tranquillement. Elle regardait son film confortablement installée. Elle en vint même à oublier qu'elle était assise sur quelqu'un, même si une chaleur dans le bas-ventre lui rappelait à quelle point elle était excitée de la situation...

Evidemment, au bout d'une demi-heure, à force d'avoir le cou crispé, je n'y tint plus et reposait ma tête un peu. Et le verre tomba, heureusement déjà vide. Emilie mis son film en pause, tranquillement, enleva le plateau de ma tête, se leva, le posa sur une table plus loin, et s'éloigna vers la cuisine.

Je restais en position, tétanisé de peur. Pourquoi tant de calme? Pourquoi était-elle partie comme ça, sans rien dire?...

 

 

 

A suivre... ;)

Par carpette12 - Publié dans : Emilie
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Mercredi 7 décembre 3 07 /12 /Déc 20:09

http://www.kinkbomb.com/image.php?type=P&id=26514

 

Elle partit dans la petite kitchenette attenante aux deux chambres à coucher, et prit une petite coupelle qu’elle déposa  par terre. Elle récupéra ensuite le père qu’elle déposa avec son fils à côté de la coupelle.
-Alors voilà, ton gage c’est que tu vas devoir manger ce que je mets dans la coupelle, peu importe ce qu’il y a dedans.

Pendant un moment, Damien se sentit soulagé par cette nouvelle. De la nourriture, il pouvait gérer. Mais il finit par se dire que si sa sœur avait pu être aussi diabolique avant, elle risquait de lui faire avaler à peu près n’importe quoi…

-et si je refuse ?

-Demande la permission avant de prendre la parole ! hurla Aurélie.

Elle le prit dans sa main, l’apporta devant son visage. Puis elle se mit à serrer le poing de plus en plus fort, compressant d’abord les poumons de Damien qui ne put plus respirer. Puis très vite, il sentit ses os commencer à craquer.

-La prochaine fois que tu oublies de demander la permission, je te promets que je te presse comme un citron. Et peut-être même que j’en mangerai la pulpe !

La pression était insupportable, plus encore que de subir le regard narquois d’Aurélie. Il avait l’impression que ses yeux allaient sortir de ses orbites, et que ses organes allaient se mélanger entre eux… Puis Aurélie desserra le poing, et le reposa par terre. Il reprit son souffle tant bien que mal, en se tenant les côtes. La douleur avait été presque insoutenable, et maintenant elle était lancinante dans tout son torse. Il finit par se redresser.

-Aurélie…

-Déesse Aurélie !

-Déesse Aurélie, se reprit-il, puis-je humblement prendre la parole ?

-Mais je t’en prie, dit-elle avec un ton mordant.

-Si je refuse de manger, que se passera-t-il ?

-Eh bien, petit esclave, c’est une très bonne question, que tu as bien fait de poser plutôt que de le découvrir par toi-même. Je ne te dirai rien, sinon que si tu refuses, ce petit passage de compression dans ma main va te sembler être une caresse comparé à ce qui t’arrivera.

Damien déglutit. Il redoutait le pire. Même pas la mort, car après tout, mourir serait la fin des souffrances, mais il soupçonnait sa sœur de pouvoir les faire durer longtemps. Il n’arrivait pas à croire qu’elle était devenue cette folle sadique…

Aurélie alla prendre une de ses chaussette, qu’elle ouvrit largement pour y faire tomber le père et le frère, d’une hauteur assez appréciable. Elle les regarda chuter au fond, se tomber dessus à grand renfort de bousculades involontaires. Puis elle ferma la chaussette par un nœud, qu’elle posa à côté de la coupelle, et elle partit en criant : « je reviens, bientôt pour ton gage, ne t’en fais pas, et ne bougez pas, hein ! »

Ca, ne pas bouger, ça allait être difficile de faire autrement, car la chaussette, même assez légère, était très handicapante pour se déplacer. Par contre, s’en faire, là il n’était pas sûr de réussir à calmer son anxiété face à l’imminence de son gage… Qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir lui faire manger ? Damien et son père restèrent muets la plupart du temps, ne parlant que pour s’inquiéter de la santé de l’autre.

Ils entendirent enfin, après une bonne dizaine de minute, la porte claquer. Aurélie revenait, joviale, avec un sachet dans les mains.

Elle le posa sur la table, et déversa son contenu. C’était un petit déjeuner, avec une petite bouteille de jus d’orange, des pains au chocolat, et des doses de confiture.
-j’ai pris ça en bas, c’est ta copine l’animatrice qui me les as donnés. Elle a l’air gentille, elle m’a demandé de tes nouvelles, papa. Je lui ai dit que tu étais dans une petite forme… haha…

Le père releva la tête pour regarder le sourire de sa fille entre les mailles de la chaussette. Puis ils furent retirés de cette dernière et posés sur la table, à côté du petit dèj’, la coupelle avec eux. En suite, Aurélie se mit à manger, sous l’œil affamé de son frère et son père, qui n’avaient pas mangés eux-mêmes depuis un moment. Damien, notamment, n’avait pas été nourri depuis plus de 24 heures, et avait le ventre douloureux. Il regarda sa sœur, implorant du regard la géante. Mais Aurélie commençait à manger, tranquillement. Puis elle regarda Damien, et dit avec une moue faussement désolée :

-ooh, bah alors, ptit frère, on a faim ? On a envie d’un morceau ?

-s’il te… s’il vous plait… déesse Aurélie, puis-je avoir un peu à manger ?

-Pour cette fois, je te fais une faveur, mais il va falloir être bien obéissant après, hein ?

Damien hocha vivement la tête, regardant le morceau de petit pain qu’Aurélie venait de détacher. Elle l’approcha de la coupelle, mais, avant de l’y déposer, sembla réfléchir. Elle hésita, puis finalement, regarda Damien dans les yeux, et porta le morceau a sa bouche, le mâchant langoureusement, comme si elle le dégustait. Cette torture mentale mettait les nerfs de Damien à rude épreuve, car il sentait la jouissance de sa sœur, mais n’osait pas dire un mot de peur de perdre ses bonnes grâces, si l’on peut dire ça.

-Bon, je te le donne quand même, aller… dit aurélie en finissant de mâcher le morceau.

Elle le retira de sa bouche. Le morceau était une masse informe marronnasse, rattachée à la bouche par quelques fils de salive, vite rompus du fait de son éloignement rapide. Elle le déposa sur la coupelle. L’odeur de la salive dégouta Damien, mais d’un autre côté, elle était mêlée à l’odeur du petit pain, qui lui mettait la bave aux lèvres. Damien s’approcha, son père le regardant avec surprise, et il détacha un petit bout avec sa main.

-ah non, s’écria Aurélie, ça fait partie de ton gage, il faut que tu le manges sans les mains.

Elle avait pris son ton de petite fille, et Damien se tourna vers elle avec une expression suppliante, mais rien n’y fit. Il se résigna à plonger la tête dans la masse chaude et gluante. Malgré tout, il avait beau être dégouté, il mangea très vite l’énorme morceau (proportionnellement à lui, il faisait plus qu’un seul repas). Il n’avançait pas vite, vu la taille, et Aurélie essaya d’y remédier, pimentant pour elle la situation : elle prit une gorgée de jus, puis elle se pencha au dessus de son frère, qui mangeait tête la première dans la coupelle. Elle se positionna au dessus de lui et commença à recracher le jus sur lui.

Damien, tout à sa tâche, se sentit qu’au dernier moment l’écoulement de liquide sur lui, et relevant la tête, s’étouffa à moitié en crachant. Aurélie rit beaucoup de sa farce, tandis que le père regardait avec inquiétude les efforts du fils pour reprendre son souffle

-Alors, ça passe mieux comme ça, s’enquit-elle, en plus c’est meilleur n’est-ce pas ?

Et elle repartit dans un rire mi-sadique, mi-enfantin.

-Bon, maintenant, t’en a mis partout, alors tu nettoies autour, et sans les mains !

Damien se mit péniblement à genoux, et commença à lécher le jus autour de la coupelle, tandis qu’Aurélie prenait le père à part :

-Tu en as de la chance papa, pour le moment je ne te fais pas beaucoup participer, mais j’attends un peu que tu perdes une épreuve ou que tu fasses une erreur quelconque… la punition n’en sera que plus méritée et délicieuse… pour moi bien sûr !

Damien finit de lécher autour de la coupelle, puis se remit sur pied pour manger la fin du morceau craché. Pendant ce temps, Aurélie finit elle aussi de manger son petit-déjeuner. Ils finirent en même temps.

-n’est-ce pas synchronisé, hein ?... dit Aurélie en s’essuyant la bouche, geste qu’elle trouvait amusant de faire devant le visage de son frère, recouvert de sa propre salive…

-Nous allons pouvoir passer à la deuxième épreuve… ah, et petit frère, je ne t’avais pas dit, mais ce gage n’est pas terminé…

Elle réfléchit une minute.

-En fait, vu ta pathétique performance à l’épreuve, je propose qu’il soit considéré comme ‘gage à vie’, à savoir manger tout ce que je te donne sans rechigner et en me remerciant, qui vote pour ?

Aurélie leva la main, seule, car les deux petits êtres restaient interdits.

-C’est donc voté à la majorité. Au passage, tu ne m’as pas remercié, et pour cela tu auras un autre handicap pour la prochaine épreuve.

Damien n’en croyait pas ses oreilles. Il resta abasourdi devant la cruauté de sa sœur, mais réfléchit et décida de ne pas aggraver son cas :

-merci déesse Aurélie pour ce repas et pour le handicap que vous me donnez.

Aurélie haussa un sourcil. Elle ne pensait pas qu’elle allait le briser aussi facilement. Mais tant mieux, se dit-elle, car même s’il est serviable maintenant, il n’en sera pas moins forcé de lui obéir par la suite…

Par carpette12
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Samedi 2 juillet 6 02 /07 /Juil 22:56

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Le père et le frère.


La chaleur des rayons du soleil réveilla Aurélie. Elle ouvrit les yeux, puis regarda son réveil… il était presque midi ! Pour une fois qu’elle avait l’occasion de faire la grasse matinée sans être réveillée par son père ou pire, par son frère, qui avait l’habitude de lui arracher la couverture et s’enfuir avec… c’était un de ses jeux favoris…

Tout en se faisant ses réflexions, Aurélie porta une main à sa culotte pour y sentir la forme humaine qui s’y dessinait. Elle se dit que son frère devait être réveillé depuis longtemps, comme à son habitude, mais que là il ne pouvait pas faire grand-chose pour l’embêter, car le moindre de ses mouvement lui procurait un frisson d’excitation. Elle se caressa un moment, dans un demi-sommeil, s’amusant à enterrer son frère entre ses lèvres qui ne devait pas être bien propre… En effet, dans sa prison de tissu et de chair, Damien, après avoir attendu patiemment le réveil de sa sœur, se retrouva très vite englué de cyprine, sans compter l’odeur persistante d’urine qui lui donnait parfois des haut-le-cœur. Mais cela s’arrêta assez vite, car il se sentit moins écrasé sur la vulve lorsqu’Aurélie se leva. Elle s’approcha de la chaise ou elle avait déposé son père la veille au soir, se demandant à quel point il devait être effrayé et abasourdi de ce qui s’était passé la veille. Elle le sortit de la chaussette, et elle s’aperçut qu’il était à peu près de la taille de son frère, c'est-à-dire une douzaine de centimètres.

-Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est qui m’arrive ? Nom de dieu explique moi !! hurla-t-il de sa petite voix

-haha papa, je t’explique, dit aurélie en riant, grâce à cette télécommande, je t’ai réduit à la taille de, je dirais… hm... 10 centimètres ?

-Mais c’est impossible ! Ca doit être un rêve ou une blague ou je ne sais pas mais…

Il commençait à bafouiller, pendant qu’Aurélie contemplait le spectacle avec ravissement. Son père n’était pas quelqu’un de très méchant ou de violent, mais il n’avait jamais pris sa défense quand son frère la taquinait, et il était un peu macho, surtout avec sa mère…

-mais alors ton frère… il lui est arrivé la même chose ? C’est toi qui le cache ? Qu’est-ce qui lui est arrivé ? demanda-t-il lorsqu’il reprit ses esprits.

-eh bien regarde par toi-même !

Aurélie posa son père sur la chaise, et enleva sa culotte, devant ses yeux ahuris. Elle la fit glisser le long de ses jolies cuisses, et lorsqu’elle fut suffisamment bas, son père put apercevoir son fils, cousu au fond, recouvert de sécrétions dont la puanteur lui parvenait ! Il conserva une expression de frayeur, et leva les yeux vers sa fille, muet.

-Eh bien papa ? On ne dit plus rien ? T’as perdu ta langue ?... Ca te plairait à toi aussi d’être mon petit esclave ?

Le père, toujours muet et blanc comme un linge, regardait sa fille comme si c’était la première fois qu’il la voyait. Il n’arrivait pas à y croire en fait, et dans sa tête, il retournait sans cesse l’idée que tout ça n’était qu’un rêve et qu’il allait bientôt se réveiller. -bon, eh bien, qui ne dit mot consens hein, ajouta Aurélie, contente de sa position de supériorité.

Elle enleva complètement sa culotte, la prit avec elle, ainsi que son père qu’elle récupéra dans son poing. Elle amena les deux dans la salle de bains, ou elle fit couler de l’eau dans l’évier pour le remplir. Puis elle entreprit de sortir son frère de son carcan de tissu et déshabilla son père, toujours hébété et se laissant faire. Elle regarda un moment les deux petits hommes nus, dont l’un tremblait de peur et l’autre semblait complètement ailleurs.

-bon, on va prendre un bain, toi ça te nettoiera et papa, j’espère que ça te réveillera. Parce que tu vois, si tu te laisse faire sans protester, c’est moins rigolo… dit-elle en faisant une moue boudeuse.

Puis elle pris les deux et les laissa tomber dans l’eau en les lâchant d’une dizaine de centimètres. La chute, pour eux, parût longue. Damien, eut l’impression de faire un plat dans l’eau, mais bizarrement il n’eut pas mal. Quand à son père, le contact avec l’eau froide le réveilla très vite et il se mit à nager frénétiquement vers le bord pour remonter. Mais Aurélie, voyant que ses deux prisonniers tentaient de s’enfuir, s’amusait en les éclaboussant dans les directions opposées, et en créant des courant qui les faisait tournoyer dans l’évier. A un moment, épuisé d’avoir passé presque 24 heures dans la culotte moite de sa sœur, Damien vit ses forces l’abandonner, et il se mit à couler au fond de l’évier.

-oooh, bah alors grand frère, on est fatigué ? dit Aurélie sadiquement en regardant le corps de son frère toucher le fond. Papa !

Le père sursauta et regarda sa fille avec inquiétude.

-Papa, voici un défi pour toi, il faut que tu ramène ton fils à la surface, sinon je le laisse se noyer !

Aurélie avait pris pour ses derniers mots un ton de petite fille, en les chantonnant un peu, ce qui renforça le côté absurde et terrifiant de la situation.

Ni une ni deux, le père plongea, et arriva vite au niveau du corps inerte du frère. Il le prit dans ses bras et le remonta à la surface.

« C’est trop facile », pensa Aurélie, qui décida de corser un peu le jeu. Dès que son père arriva à la surface pour prendre une grande bouffée d’air, le doigt de sa fille appuya sur sa tête pour le replonger brutalement sous la surface. Pris par surprise, le père s’étouffa en avalant de l’eau, et lâcha le corps du frère qui se mit de nouveau à couler… Cela faisait presque une minute qu’il n’était pas remonté…

Le père, s’apercevant de la chose, replongea au fond pour le remonter, et cette fois eu le temps de faire surgir la tête du frère avant qu’Aurélie ne les replonge tout les deux. Elle s’amusait beaucoup, et pensait au nombre de fois que son frère l’avait coulé à la piscine ou à la mer. Faire cela lui procurait un jouissance incroyable, se sentant toute puissante, car elle tenait la vie de son frère entre ses mains, entre ses doigts…

Enfin, lorsqu’il émergea la troisième fois, son père ne sentit pas le doigt de sa fille le repousser au fond, mais sa main les prendre tout les deux et les déposer sur le rebord.

-nouveau jeu ! Tu dois réanimer mon frérot, sinon tu auras un gage ! Dit-elle à nouveau de manière très candide, comme s’il ne s’agissait que d’un jeu inoffensif d’enfant…

Le père se mit à faire du bouche-à-bouche et un massage cardiaque sous l’œil amusé de sa fille. Tuer son frère n’était pas un problème pour elle, juste un accident de parcours plutôt…

Enfin, son frère se mit à cracher de l’eau, à tousser, et ouvrit les yeux pendant que son père, sanglotant, l’étreignait dans ses bras

-ooh, comme c’est touchant, dit Aurélie. Papa, c’est bien tu as mis peu de temps au final, tu n’auras pas de gage. Par contre petit frère, va falloir que tu payes pour ton manque d’endurance hein. Mais vous inquiétez pas, je vais vous entrainer !

Aurélie venait d’avoir une idée. Elle récupéra les deux petits hommes et les emmena sur son lit. Elle les déposa sur un oreiller chacun, et s’assit sur le bord du lit. Les deux hommes, nus et tremblant de froid, restaient interdits.

-Alors voilà, pour vous entrainer, on va faire un jeu. On va faire des courses, des épreuves, tout ça. Et pour vous motiver, le perdant aura un gage à chaque fois. Donc il va falloir donner votre maximum !

Les deux voyaient ou elle voulait en venir, et ils n’aimaient pas ça du tout.

-première épreuve, vous devez courir sur le lit, le premier à en atteindre le bout n’aura pas le gage.

-c’est quoi le gage ? hurla le frère depuis là où il se trouvait

-tatata je ne le dit pas… et pour avoir parlé sans permission, tu auras un handicap !

Aurélie, riant de sa bonne idée, chercha aux alentours quelque chose pour handicaper son frère… elle finit par trouver du sparadrap, qu’elle découpa en une petite bande. Puis elle attrapa son frère et lui colla autour de la tête pour lui couvrir les yeux. Elle le reposa sur l’oreiller, amusée de son tour, puis elle fit un clin d’œil à son père, qui continua à la regarder avec son air ahuri.
-attention vous êtes près les lilliputiens ?... 3, 2, 1 partez !

Le père et le frère s’élancèrent et commencèrent par rouler en bas de leurs oreillers. Le père continua sa course, et jeta un œil vers Damien, qui était parti aussi, mais légèrement plus en diagonale… Il courait plus vite que son père, mais commençait à se rapprocher du bord du lit. Aurélie regardait la scène, excitée et impatiente du résultat, quand soudain elle vit son frère, qui avait pris de l’avance, tomber d’un côté du lit. Il atterrit avec un bruit mat, et se releva en titubant un peu, pendant que son père atteignait l’extrémité.

-Fin de la course ! cria Aurélie, en tapant des mains. Bravo à toi papa ! Tu auras la chance de ne pas avoir de gage cette fois ! Aaah, Damien, dit-elle en s’approchant de lui, tu es notre malheureux candidat perdant… Elle lui enleva le sparadrap, lui arrachant un cri de douleur et quelques cheveux au passage.

-Tu vas donc devoir subir ton gage !

Aurélie le prit dans sa main, et le regarda avec un sourire démoniaque…

Par carpette12
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Dimanche 27 février 7 27 /02 /Fév 15:46

http://giantessbooru.com/_images/eebe7537571a5c8ee874d7fd52908ad3/28494%20-%20breasts%20brunette%20feet%20giantess%20pov%20pussy.jpg

 

Chapitre 4 : un nouveau quotidien

 

Elle arriva dans la chambre de son père, qui entassait des affaires dans son sac à dos. Il répondit à son bonjour par un grommèlement et lui demanda ou était passé son frère.
-il est déjà parti à la piscine, il a dit qu’aujourd’hui, c’était son jour de repos et de confort…
-ah… bon, eh bien il semblerait qu’on se retrouve tous les deux pour une journée de rando alors… c’est la direction de l’hôtel qui nous l’a proposé, et je nous ai inscrit… je vais laisser le sandwiche de ton frère dans la chambre.
Aurélie sourit, et retourna dans sa chambre pour enfiler un pantalon et des chaussures de marche. Elle prit soin, au travers du tissu, de repositionner bien contre sa chatte la petite forme humaine qui se trouvait là… elle sentait ses gesticulations et ses gigotements. Elle appuya sur son frère pour le faire cesser, ce qu’il fit.
Noir, chaud et puant. Voilà comment Damien aurait décris son environnement. S’il pouvait parler bien entendu. Il n’essayait plus d’ouvrir la bouche depuis que sa dernière tentative lui avait fait « boire la tasse ». Il sentit ses déplacements, et entendit la voix de son père, étouffée par la masse de chair et de tissu autour de lui. Puis il sentit quelque chose le plaquer entre les deux lèvres gluantes. Sa sœur mettait un pantalon. Il eut vite le plus grand mal à respirer, et se mit à bouger frénétiquement pour l’indiquer, mais alors une pression très forte lui plaqua le visage tout contre un clitoris luisant et turgescent, l’assommant à moitié… Lorsqu’il reprit ses esprit, il s’aperçu qu’il pouvait respirer, certes difficilement et un air vicié, mais au moins il ne risquait pas la mort. Pour le moment. Cette pensée lui tira les larmes, et il se mit à regretter tellement ce qu’il avait fait à sa sœur… Il se mit à prier tandis qu’il sentait sa sœur marcher et qu’il était légèrement balloté et frotté contre elle… Cela dura un moment pendant lequel il se calme et prit en patience sa situation. Lorsque soudain il fut compressé, mais pas comme la dernière fois. Cette fois il lui semblait que tout ce qui l’entourait s’était soudain rapproché de lui, lui soufflant l’air des poumons, et l’obligeant à repirer par à-coups.
Aurélie, après être sortie de l’hôtel, s’était assise à côté de son père dans l’autocar qui allait les emmener se balader quelque part, elle ne savait pas où, et d’ailleurs elle s’en fichait. Elle se réjouissait à l’idée qu’elle allait faire un peu de sport, déjà parce qu’il fallait s’entretenir, mais aussi parce qu’elle savait que l’endroit ou était son frère allait vite devenir un vair petit enfer. Elle frotta des jambes l’une contre l’autre en y pensant, et se demanda à quel p oint son frère était inconfortablement installé.
Après une demi-heure de route, le car s’arrêta sur le bord, dans un petit village assez joli, et la vingtaine de touriste de leur hôtel sortit en même temps qu’eux. Elle récupéra leurs sacs et rejoignit son père, qui discutait avec une monitrice d’un club quelconque. Celle-ci était blonde, très jolie et sportive. Aurélie arriva près d’eux et se mit à côté de son père.
-et ça c’est ma fille, aurélie !
-salut aurélie ! Alors, on est venu se défouler un peu ? dit la blonde avec un clin d’œil… Ou peut-être que tu préfère rester à la piscine et flirter…
-bof, les garçons, ça sert pas à grand-chose… Sauf si c’est bien sage… répondit aurélie avec une moue.
La blonde la regarda avec une drôle d’expression. Puis elle serra la main de son père et partit animer le groupe. De leur côté, ils partirent sur un chemin qui montait en direction d’une sorte de petite montagne. Il était 10 heures. Ce n’est qu’à midi qu’ils arrivèrent au somment, ou ils découvrirent un autre groupe de touristes, moins nombreux et rassemblés à l’ombre d’un arbre pour manger. Son père s’approcha, et se mit à discuter avec les familles à grand coups d’éclats de rire et d’anglais mal parlé. Aurélie fit signe qu’elle allait se soulager plus loin… elle s’éloigna et se plaça derrière une rangée d’autres arbres situés derrière une paroi rocheuse. Elle baissa son pantalon et constata que sa culotte était complètement trempée de sueur. En riant à moitié, elle la descendit sur ses jambes en s’accroupissant. Son frère était là, les yeux à demi-fermés, comme complètement dans les vapes. De son doigt, elle lui tapota durement la tête, et il la regarda les yeux grands ouverts, hébété.
-Aurélie, je t’en prie, laisse moi sortir, laisse-moi partir c’est vraiment pas humain ! Il fait très chaud et mes yeux me brûlent à cause de la sueur. J’ai des courbatures de partout et…
Aurélie le laissa parler de sa petite voix presque inaudible, et elle se mit à uriner abondamment. Lorsqu’elle eut fini, elle regarda son frère qui pleurait à moitié en continuant à lui promettre qu’il ferait le ménage, la vaisselle, ses devoirs et autre si elle le laissait sortir.
-désolé p’tit frère, le coupa-t-elle, mais tu n’es plus en position pour parlementer…
Et elle se releva en remontant sa culotte à fond, enterrant son frère dans son entre-jambe, mais cette fois mouillé d’urine. Elle reboutonna son pantalon, et de dirigea vers le groupe ou était son père, d’une démarche calme et apaisée.
Damien pensait avoir connu l’enfer, et il s’aperçut vite que sa sœur pouvait faire pire encore : En plus de la chaleur, de l’humidité, de l’odeur, voilà que maintenant la nausée lui venait et qu’il conservait les yeux fermés à cause de l’acidité qui les lui piquait atrocement. Il se mit à respirer par la bouche, car même si de cette manière il ingérait à chaque respiration de la sueur et de la pisse, il préférait ça à se noyer dans son propre vomi. Des larmes lui montèrent aux yeux, ce qui lui fit du bien et évacua un peu l’urine acide…
Aurélie ne se sentait certes pas très à l’aise, car elle sentait son entrejambe légèrement mouillée, mais faire subir ça à son frère lui demandait bien quelques petits sacrifices. Elle rejoignit le groupe et s’assit un peu brusquement sur ses talons, compressant la petite forme entre ses deux cuisses blanches et galbées. Puis elle se servit un morceau de poulet qui se trouvait sur un torchon, et mordit dedans à pleines dents.
La journée se termina doucement par la suite de la randonnée et le retour à l’hôtel. Aurélie et son père se rendirent dans leurs chambres respectives, et Aurélie, épuisée, se jeta sur son lit. Elle se mit à fermer les yeux, et finit par s’endormir, tandis que Damien s’endormait lui aussi…
Elle fut réveillée une heure plus tard par son père :
-Ma chérie, je ne trouve pas ton frère, et à la piscine on me dit qu’il n’est pas venu aujourd’hui, ou en tout cas pas cet après-midi… Je sais que parfois il va un centre se balader, mais là il est 19h et je m’inquiète un peu… Je vais aller prévenir la direction, on sait jamais
-mais non… t’inquiète pas il va pas tarder. Si ça se trouve il va très bien en ce moment, répondit-elle avec la voix pâteuse du sommeil
-tu as probablement raison, mais après il n’y aura plus personne à l’accueil et je ne sais pas s’il a pris ses clefs…
Aurélie imagina le scénario assez vite : son père prévenait l’accueil, son frère ne revenait pas (ça, elle en était sûre), la police s’en mêlait. Elle se dit alors que même si elle n’était pas soupçonnée, ça ferait des histoires et qu’elle ne pourrait pas profiter en paix de ses vacances et de son nouveau jouet… tandis que son père finissait sa phrase, elle se retourna, fouilla dans sa table de chevet, et en sortit la télécommande. Au moment ou son père tournait la poignée de sa chambre pour rejoindre la sienne, aussi naturellement que si elle avait allumée la télé, elle appuya sur le bouton 15, et son père disparut. Elle se leva et souleva entre deux doigts la forme maintenant minuscule de son père. Encore dans les vapes, elle fouilla dans sa valise de l’autre main pour trouver une chaussette propre. N’en trouvant pas, elle en prit une sale qui trainait sur la chaise, et fourra son père dedans. Puis elle la referma en faisant un nœud au bout, et la reposa sur la chaise. Enfin, elle se recoucha, ferma les yeux et se rendormit.

Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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Dimanche 6 février 7 06 /02 /Fév 13:30

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"Tais-toi et laisse faire la femme"

 

Aurélie se réveilla, son visage éclairé par un rayon de soleil qui passait par la fenêtre. Elle se défit du drap, s’assit sur le bord du lit, et se prépara à se lever. C’est au moment de poser les pieds par terre qu’elle se souvint… Elle retira en vitesse ses chaussettes, avec lenteur et un sourire apparut sur son visage lorsqu’elle en fit tomber son frère…

-Alors mon petit… t’as bien dormi ? moi j’ai passé une nuit merveilleuse… , dit-elle en le dévorant du regard…

Le petit humain qu’elle avait dans sa main paraissait complètement affolé et désorienté.

-Aurélie, je t’en prie, arrête ! tu es complètement folle enfin ! Arrête ce délire !

-chhht, on ne fais pas de simagrées… ou alors il risque de t’arriver des misères…

Effrayé par le ton autoritaire de sa sœur, Damien cessa de parler, et décida de tenter le tout pour le tout, en courant et sautant de la main de sa sœur. La chute fut vertigineuse, mais son poids lui permit d’atterrir sans problème sur le matelas, ou il commença à courir de toutes ses forces sur ses petites jambes.

Aurélie regardait la scène avec amusement, et, avant que son frère puisse atteindre le bord du matelas, elle posa sa main devant lui. Damien stoppe net, puis fit demi-tour pour repartir dans l’autre sens. Une fois encore, la main géante d’Aurélie se plaça devant lui comme un mur, et il n’eut d’autre choix que de refaire demi-tour…

Après deux aller-retour, Damien commença à être épuisé, courant de plus en plus lentement. Aurélie comptait sur sa reddition rapide, mais il continuait pourtant de courir. Son endurance et sa détermination l’énerva rapidement, et elle décida d’y mettre un terme.

Damien courait encore et encore, haletant, lorsqu’il sentit l’ombre s’étendre sur lui. Il eut à peine le temps de lever les yeux qu’il fut plaqué contre le matelas. Il subissait une pression insoutenable, et avait le plus grand mal à respirer. Il n’avait aucune idée de se qui se passait. Il savait juste qu’il risquait de mourir s’il restait dans cette situation…

Aurélie savourait. Elle s’était levé puis s’était brusquement assise sur son grand frère de tout son poids, sans aucun scrupule… Elle sentait son corps écrasé sous sa fesse gauche, et ressentit un frisson de puissance et d’excitation grandissant… Si bien qu’elle se surprit à se caresser au travers de la nuisette…

Elle resta assise une bonne minute, puis se leva. Elle se retourna et pouffa de rire en voyant son frère aplati sur le matelas. Lentement, il bougea les bras et les jambes, puis se releva, titubant…

-Qu’est-ce qui s’est passé ? T’as fait quoi là encore ?

-Je me suis assise sur toi, et si tu ne fais pas tout ce que je te dis à partir de maintenant, ça rique de se reproduire, ou pire encore… Alors je te conseille de faire gaffe…

-Mais t’es complètement malade ?!! Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? J’aurais pu mourir étouffé ou écrasé ou encore...

-BON !

Le cri d’Aurélie coupa net Damien, qui blêmit en voyant s’approcher la main gigantesque de sa sœur. Pétrifié, il se sentit attrapé par une poigne de fer.

Aurélie, son frère dans le poing, se déplaça rapidement jusqu’à la salle de bain, où, de l’autre main, elle remplit un verre D’eau aux trois quarts. Puis elle prit son frère, et le fit pendre par les pieds au-dessus du verre.

-J’espère qu’après tu feras moins le malin… lui dit-elle, couvrant ses cris de terreur.

Avec un sourire mauvais, elle abaissa sa main, plongeant son frère jusqu’au torse dans le verre d’eau froide. Elle regarda l’horloge de la salle de bain, et compta trente secondes.

Damien était gelé, et ne pouvait pas respirer. Il avait eu la présence d’esprit de prendre une grande bouffée d’oxygène avant le plongeon, mais ses poumons commençaient à le bruler… Il comprit à ce moment que sa sœur ne plaisantait pas, elle qu’elle le tuerait probablement s’il ne faisait pas ce qu’elle disait. Il se demandait même si elle ne l’avait pas déjà prévu…

Il fut interrompu dans ses réflexions lorsqu’il sorti du verre. Il prit de grandes inspirations paniquées, au cas où il eut à replonger rapidement…

Mais Aurélie en décida autrement. Elle prit un autre verre, vide, et déposa son frère à l’intérieur. Lui la voyait comme ça toute déformée à cause de l’épaisseur du verre…

-Alors c’est bon ? t’as compris ? tu va te tenir tranquille maintenant ?

Damien acquiesça rapidement, puis s’assit par terre et regarda le sourire de sa sœur s’élargir.

-bieeeen. Alors si ça ne te dérange pas, je vais maintenant prendre une douche, puis on ira probablement en ville… je ne sais pas ce qu’à prévu papa, mais moi j’ai prévu quelque chose pour lui

Puis, sur ces mots, elle enleva sa nuisette, et se mit sous la douche.

Damien ne pouvait s’empêcher de regarder son corps de géante, et de penser qu’elle n’aurait aucun mal à se trouver un petit ami si elle n’avait pas un aussi mauvais caractère… de là ses seins paraissaient énormes, et le buisson de son sexe semblaient être une vraie forêt pour un lilliputien comme lui… Se maudissant de tous les noms, il se mit à penser que peut-être, s’il était suffisamment gentil et dévoué, elle le laisserait reprendre sa taille normale.

Pendant qu’il réfléchissait, Aurélie finissait de prendre sa douche, puis elle sorti et s’enveloppa d’une serviette. Enfin, elle s’habilla : soutien-gorge et débardeur pour le haut, jupe pour le bas. Damien ne put s’empêcher de remarquer qu’elle n’avait pas mise de culotte, ce qui, à sa grande honte, l’excita un peu. Puis elle se maquilla légèrement, et partit dans sa chambre. Elle revint vite, avec un matériel de couture sous le bras.

-J’ai une surprise pour toi petit frère ! dit-elle avec un grand sourire.

Elle reversa le verre pour récupérer Damien, qui se laissa faire. Puis elle sortit du fil, et commença à l’enrouler autour du corps de son frère, en partant des cheville, jusqu’aux épaules. De cette manière ligoté, il ne pouvait plus du tout bouger, et se mit à appréhender la suite…

Aurélie ensuite prit du tissu, qu’elle enroula de la même manière autour du corps de son frère, laissant sa tête à l’air libre. Enfin, elle sorti d’un placard une culotte, qu’elle posa à côté du lavabo. Elle déposa son frère au niveau de l’entrejambe, sur le dos, et entreprit de coudre le tissu dans lequel il était emballé au fond de son vêtement…

-Aurélie, qu’est-ce que tu…
Il fut interrompu par un regard noir lancé par sa sœur, qui bientôt eut finit son ouvrage… Satisfaite, elle recula pour observer le travail. Elle regarda son frère, se lécha les lèvres à la manière d’un prédateur, et posa la culotte par terre, entre ses jambes écartées.
Damien ne pouvait en croire ses yeux. Il avait devant lui, ou plutôt au dessus de sa tête, la forêt de poils noirs du sexe de sa petite sœur.

-J’espère que tu ne t’ennuieras pas trop… Si c’est le cas, tu peux toujours essayer de me donner du plaisir, hahaha…

Aurélie savoura quelques instant encore la vision du visage complètement ahuri de son frère, puis elle remonta lentement la culotte. Damien vit s’approcher son buisson touffu, puis distingua plus clairement en dessous la vulve rouge et luisante… il poussa un cri, vite étouffé lorsqu’il se retrouva plaqué contre la chatte poilue d’Aurélie. Celle-ci remonta bien haut sa culotte en l’ajustant grâce à des petits mouvements de hanche. Elle sentit rapidement son frère se débattre pour chercher de l’air, et se mit à mouiller d’excitation… Se mordant les lèvres, elle ramassa son sac, et se dirigea vers la chambre de son père, pour lui annoncer que son fils avait décidé de passer la journée à la piscine, et qu’il y était déjà parti…

Par carpette12 - Publié dans : La télécommande (histoire)
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