Emilie

Dimanche 25 août 7 25 /08 /Août 16:05

Bonjour à tous!

 

J'ai commencé une autre histoire en parallèle de la télécommande. Pas de giantess cette fois (en tout cas pour l'instant ce n'est pas prévu mais qui sait...), mais elle vous plaira peut-être! Voici les premiers chapitres:

 

 

Je vais vous raconter comment tout à commencé avec Émilie. D'abord, laissez-moi me présenter: Je m’appelle Nicolas, J'ai 22 ans, et je suis un garçon brun aux yeux verts. Je suis étudiant en psycho, ce qui n'a pas beaucoup d'importance pour l'histoire. Passons. Je ne suis pas très grand (1m73 ou approchant), et pas très épais (autour des 55-60 kilos). On ne peut pas dire que je suis maigre, mais disons que je suis fin. Ça a une petite importance pour la suite.

Dans ma classe, il y a une amie à moi, qui s'appelle Émilie. Émilie est une fille joviale mais un peu timide, une belle brune au yeux marrons. Nous sommes relativement proches, car nous nous croisons souvent aux soirées, et nous avons une bonne alchimie, dirons nous. Même s'il ne s'est jamais rien passé entre nous.
Émilie est une fille petite, et assez dodue, pour ne pas dire plutôt forte. Elle mesure dans les 1m60, et, de mon expérience, je dirais qu'elle pèse aux alentours de 70 kilos. Elle a des hanches très larges, et, ma foi, un cul très rebondi. Mais ce n'est pas pour me déplaire.

En effet, depuis toujours je suis attiré par les femmes un peu fortes, car je suis soumis de nature, et j'aime beaucoup qu'une femme m'utilise comme un objet, une chaise, un repose-pied... C'est un délire bizarre, je n'en ai jamais parlé à personne. Je suis aussi fétichiste du pied, ce qui ne m'aide pas beaucoup plus. Émilie ne sait pas tout ça. Enfin, ne savait pas.

Un jour j'étais en soirée avec Émilie, chez des amis à moi. J'avais un peu bu, et, plutôt éméché, je m'amusait bien, je plaisantais pas mal avec elle de la manière dont j'étais toujours un peu discret, un peu effacé. Je disais en rigolant c'était probablement mon côté «hasoumisha». Je ne m'en suis pas aperçu à ce moment-là, mais je pense que ça a dû avoir un impact sur elle, et que c'est là que tout à commencé. Notamment lorsque j'ai parlé de mon entraînement sportif (je fais un peu d'abdos et de pompes), et de la manière dont je trouvais rigolo d'avoir plus d'abdos et de pouvoir mieux résister au poids... (mon objectif était de la faire réagir, mais je pensais alors qu'elle n'avait même pas remarqué)
A la fin de la soirée, je squattais le lit double d'un ami, qui dormait à côté de moi (l'hôte de la soirée en fait). Et Il avait installé pour Émilie, qui dormait là car elle habitait comme moi un peu loin, un matelas par terre, dans la chambre. Nous nous sommes endormis tous les trois. J’étais un peu barbouillé à cause de l'alcool, mais rien de grave.

Le lendemain matin, Émilie fut la première à se lever et elle se mit à rassembler ses affaires pour partir. Moi je ne dormais que d'un œil, car j'avais été réveillé par ses déplacements. Le lit sur lequel j'étais coupait un peu la chambre en deux, mon pote dormais du côté de son ordinateur et moi du côté de la porte. Je dormais sur le ventre, sans couverture parce que mon pote avait tout pris... Émilie, après avoir ramassé son manteau, arriva au niveau de la porte, donc à côté de moi, puis elle s'aperçut que son écharpe était sur la petite table de l'autre côté du lit, devant l'ordinateur. Or, la chambre était très mal rangée, et il était très difficile de s'y déplacer sans rien renverser.
De mon œil semi-ouvert, je voyais Émilie hésiter à faire le tour du lit pour récupérer son écharpe, alors elle commença à se pencher par dessus le lit pour essayer de l'attraper. Étant assez petite, elle n'y arrivait pas, et elle commençait à prendre appui avec son genou à côté de moi, sur le matelas. Mais rien n'y fit, elle était encore trop loin.
Et alors là, je n'en cru pas mes yeux, elle me regarda en souriant. Moi, ma paupière presque fermée, j'étais presque sûr qu'elle ne m'avait pas vu la voir. Mais après m'avoir souri, elle posa son genou sur mon ventre. Puis elle se mit à y appliquer de plus en plus de poids.
Moi, dans mon malaise post-alcoolisé, j'essayais de ne pas ressentir de douleur pour m'éviter d'avoir des hauts-le cœur, mais son genou s’enfonçait de plus en plus dans mon ventre. Bien sûr je n'avais pas eu le temps de contracter me abdos, et puis je voulais passer pour quelqu'un d'endormi, donc je continuais de faire semblant. Elle continua jusqu'à avoir tout son poids sur ce genou, et se pencha plus loin pour enfin récupérer son écharpe. Mais, après l'avoir en main, elle resta longtemps sur ce genou, avec un sourire en coin.
J'étais aux anges. Cela faisait mal et mes entrailles me hurlait d'arrêter de faire semblant de dormir pour lui dire d'arrêter, mais je ne l'aurais fait pour rien au monde.

Émilie, enfin, est descendue du lit (et de moi), pour se retourner et enfiler son manteau. Elle pouffait presque de rire toute seule.

Elle repéra ses chaussures, à côté de la porte, et commenca à les mettre. Elle avait un peu de mal parce qu'on ne pouvait pas vraiment s’asseoir par terre, et le nombre d'objets au sol emlpêchait d'être très table. Moi j'observais toujours, quand je la vis s'arrêter net, se retourner, et me regarder en souriant, et en se mordant la lèvre.
Puis, avec un naturel absolu, elle s'approcha, et s’assit carrément sur mon ventre, pour mettre ses chaussures.

Je pus observer son cul couler en moi. J'avais l'impression qu'elle allait toucher le matelas, et que moi j'allais m'aplatir définitivement, à vie. Cette sensation était exquise, je profitais au maximum, même si je sentais que ça plus l'alcool, ça n'allait pas me faire du bien.

Elle mit son temps pour mettre ses chaussures, puis se releva à nouveau. Elle se retourna, et de ma paupière semi-fermée, j'aurais juré qu'elle me faisait un clin d’œil.

Puis elle sortit de la pièce. Je me détendit à nouveau, et me félicitait de ce miracle soudain, de cette situation inespérée.

Ce que je ne savais pas, c'est que ça ne faisait que commencer...

 

Après la fameuse soirée, une semaine de cours passa, et je recroisais Emilie régulièrement... Nous avons quelques cours en communs, comme l'Allemand ou le Latin.

Et c'est justement durant le dernier cours de Latin de la semaine que j'ai pu la revoir. Nous devions regarder un documentaire projeté dans la bibliothèque par notre prof, dont le sujet m'échappe totalement. Mais c'est plutôt normal...
Avec Emilie nous sommes arrivés en retard tous les deux. Par coïncidence, on s'est retrouvés devant la bibliothèque, à moitié essoufflés. Après de brèves salutations, nous sommes entrés. La salle était plongée dans le noir, et le documentaire commençait. La plupart des élèves étaient assis par terre, et il n'y avais plus vraiment de place, à part derrière les tables rangées au fond de la salle. C'est là que la prof nous indiqua d'aller, d'un geste rapide et en nous faisant les gros yeux. Puis elle se retourna vers la télévision.

Emilie me poussa gentiment pour me faire avancer, et nous nous sommes retrouvés derrière la rangée de table, assez loin de la télévision, et derrière les autres élèves.
Il n'y avait aucune chaise. Emilie se tourna vers moi:

-On se met où?
-Je sais pas, on peut peut-être se mettre en dessous des tables?


Je me penchai pour regarder en dessous, et pour cela je finis par me mettre à quatre pattes. Les dos des autres élèves bouchaient la vue, on ne pouvait pas se mettre là. Mais avant que je puisse me relever, Emilie posa une main sur mon épaule, se pencha et me chuchota à l'oreille:

-bouge pas, j'ai trouvé une solution

Je restais là, interdit, à quatre pattes, face à la table (l'avant de mon corps était en partie en dessous tandis que l'arrière dépassait vers elle), et je la sentis m'enjamber pour se retrouver debout avec mon corps entre ses cuisses. Alors que je commençais à trembler d'excitation, elle commenca s'asseoir sur moi, au milieu de mon dos. Son poids creusa rapidement ma colonne, et je dû contracter mes abdos car cela fit mal très vite. J'avais l'impression que j'allais me casser en deux...

Elle passa une main dans mes cheveux, puis posa ses coudes sur la table, et se mit à regarder le documentaire.
En dessous, je peinais déjà à la maintenir, et pourtant ça faisait que 30 secondes qu'elle se tenait là, les jambes de part et d'autre de mon corps.
Au bout de 3 minutes je ne tremblais plus d'excitation mais de fatigue musculaire. Je ne suis pas très faible ordinairement mais le fait qu'elle me creuse le dos de tout son poids me demandait un effort constant de contraction musculaire, et je tenais difficilement...
Emilie, de son côté, se reposait tranquillement, et si je l'avais sentie un peu tendue au départ, maintenant elle paraissait complètement décontractée... Et apparemment plus du tout concernée par le fait qu'elle mettait tout son poids sur moi!

Au bout de 5 minutes, j'entendis ses chaussures tomber au sol. Elle portait des chaussures ouvertes avec un petit talon en bois, le genre que j'aime particulièrement... Je sentis ses jambes se déplacer, ses pieds se soulevèrent du sol et elle posa ses chevilles sur mes épaules! J'avais de part et d'autre de ma tête ses mignons petits pieds (elle fait du 36), qui dégageaient une légère odeur de transpiration, mais ça me mit dans tous mes états! Je sentais mon érection palpiter dans mon pantalon, c'en était presque douloureux...
Emilie avait les deux jambes allongées sur mon dos jusque mes épaules. Elle est plutôt petite, et du coup cette position était plutôt confortable pour elle... Et finalement pour moi aussi, parce que son poids s'était plus réparti sur mes épaules et mon cul, du coup mon dos me faisait nettement moins mal qu'avant...

Le documentaire dura encore pendant une bonne demi-heure, après quoi la prof ralluma les lumières mais Emilie ne se levait toujours pas! Puisque personne ne bougeait je restait caché sous la table, mais quelqu'un allait tôt ou tard s’apercevoir de mon absence! La prof commença à faire des commentaires sur le docu, et je sentis Emilie sortir sa trousse de son sac et prendre des notes. Pendant ce temps elle jouait avec ses pieds, me caressant les joues et parfois même en les réunissant sous mon nez! La première fois je pris une grande inspiration et je l'entendis pouffer, puis elle recommença et je continuais à respirer à pleins poumons cette odeur tout droit sortie du paradis. A la fin du cours, tout le monde se leva, y compris Emilie, et je sortis le plus discrètement possible d'en dessous de la table. Apparemment personne ne s'était rendu compte de rien. Je me relevais, face à elle. Elle se mit sur la pointe des pieds et m'embrassa doucement sur la joue. Puis elle me lança un grand sourire. Puis, narquoise:

-Ca va? T'as apprécié le film?
-La meilleure séance de ciné de ma vie.
-C'était confortable?
-Je me sens à la fois détendu et en pleine forme!


J'avais le dos en compote, les genoux et les poignets très douloureux, et j'avais très mal aux abdos. Mais mon sourire était sincère...

-Ah bon? Parfait. Ca veut dire que tu es capable de continuer.

Continuer? Je restais silencieux, et la regarda avec un air étonné. Son expression se fit plus sérieuse:

-Tiens, sois galant un peu.

Elle me donna son lourd sac ainsi que ses chaussures, et elle se dirigea, pieds nus, vers la sortie. Je restais dans la bibliothèque, abasourdi, ne bougeant pas d'un pouce. Elle se retourna:

-Tu viens oui? Je t'invite à la maison!

Et elle sourit à nouveau. Mais dans ses yeux brillait une lueur qui me fit, pendant un bref instant, froid dans le dos...

 

Nous arrivâmes chez elle assez rapidement, car elle habitait à quelques pâtés de maisons de la fac. J'avais sur moi son sac que je tenais contre ma poitrine, et dans ma main droite ses deux chaussures. Les quelques personnes qui nous ont croisé nous regardaient avec étonnement, Emilie 5 mètres devant moi, qui marchait d'un pas léger et presque dansant, tandis que j'essayais de faire bonne figure...

Elle sortit les clefs de sa poche, ouvrit et entra. Elle m'indiqua d'un geste nonchalant où poser ce que j'avais dans les mains. Je déposait tout ça par terre dans le couloir, et Emilie entra dans son salon. Je la suivis et la regarda s'assoir sur le canapé. Ses pieds ne touchaient pas par terre, et elle balançait ses jambes comme une enfant...

Je restai là au milieu du salon. Emilie me regarda, tout sourire :

-Eh ben quoi, assieds-toi !

Je m'approchais du canapé quand elle interrompis mon mouvement d'un geste brusque :

-Pas là. Devant moi !

Je restais un moment interdit, ne sachant que faire. Je me mis devant elle puis chercha des yeux une chaise, tout en tripotant nerveusement ma chemise.
Emilie soupira, puis se leva du canapé pour se mettre devant moi, posa ses mains sur mes épaules, pourtant au dessus d'elle, et appuya dessus. Je compris rapidement et m'assis au sol, ses mains toujours sur mes épaules. Maintenant penchée et appuyée sur moi, elle me fixa intensément dans les yeux, puis fit une moue et retourna s'asseoir.
Je ne pouvais m'empêcher de fixer ses pieds et leur mouvement de balancier. Elle s'en aperçut et tendis lentement les jambes vers moi, touchant presque mon visage, puis les croisa.

-Bon, je vais pas y aller par quatre chemins.

Je sursautais en entendant sa voix, car j'étais à ce moment perdu dans la contemplation de ses pieds. Très jolis, par ailleurs. Petits et un peu boudinés, mais avec des orteils très bien rangés (elle a le pied égyptien), et une arche très belle. Sa peau est très blanche et elle a un petit grain de beauté au milieu du pied droit. De là où j'étais je pouvais voir un peu la plante de son pied droit, qui était très sale du fait qu'elle ait marché pied nus. Mais cela n'influait pas sur ma fascination...

Elle sourit en me voyant sursauter.

-J'avais remarqué que tu regardais souvent mes pieds ou mes chaussures, et que tu étais quelqu'un de très serviable, et docile...

(je l'avais en effet plusieurs fois aidé à porter ses livres et même proposé de lui porter son sac)

-J'en ai déduit que tu étais une personne soumise.

Je baissais les yeux.

-haha voilà. Maintenant que mes soupçons sont confirmés, même s'ils le sont depuis un bon moment, je vais pouvoir t'expliquer deux ou trois choses. Mais d'abord, j'ai un dernier test que j'aimerais que tu passes.

Test ? Comment ça un test ? Les deux autres évènements étaient des tests eux aussi ? Les ais-je réussis ? J'imagine que oui si j'en suis à en passer un dernier... Je décidais d'accepter totalement le fait qu'elle m'ait cerné :

-Tout ce que tu voudras.

Elle sourit largement, son œil s'éclaira et, sèchement elle me dit :

-embrasse mon pied.

Glacé de stupeur, je me ressaisi rapidement et posa ma bouche sur le dessus de son pied droit, à côté du grain de beauté. J'essayais de faire le baiser le plus doux possible, laissant mes lèvres en suspend puis les posant délicatement pour enfin me retirer et la regarder timidement.

-très bien. C'était la première partie du test. Je te donne 15. Sur 20.

Elle semblait jouir comme une gamine qui joue à la maitresse...

-Mais la deuxième partie est plus difficile... Je me demande si tu réussiras...
Elle me faisait languir. Elle adorait ça. J'en étais certain, ça se voyait sur son visage. C'est limite si elle ne se léchait pas les lèvres comme une prédatrice. Elle tendit soudain la jambe vers moi, sa plante face à moi.

-passe ta langue sous mon pied.

Son ton était dur, sans appel. Elle avait l'air de prendre confiance en elle, tandis que je perdais totalement la mienne.
J'hésitais. Faire ça signait complètement ma soumission. C'étais le point de non retour, plus possible de faire marche arrière si je faisais ça... Mais c'était la chance de ma vie.

Je la vis hausser un sourcil devant mon hésitation. En réaction j'approchais rapidement mon visage, et, tirant la langue je la fit glisser du talon à la pointe de ses orteils, laissant une trace plus claire que le reste de son pied sale. Je restais intentionnellement la langue un peu tirée devant elle, qu'elle puisse y voir la saleté que j'avais probablement accumulé, pour la rentrer ensuite. Je fermais les yeux comme si je goutais un met succulent.
En réalité ce ne fut pas bon, j'avais l'impression d'avoir réellement léché un trottoir, pas beaucoup de goût mais j'avais quelques particules de poussière qui se collait à mon palais. J'avalais ma salive pour m'en débarrasser.

Lorsque je rouvris les yeux, elle semblait ravie. Puis elle fronça les sourcils

-Pas mal, je te mets 12... à cause de l'hésitation.

Je fut presque déçu de perdre à son petit jeu de manipulation. Pour la peine je repassais un coup de langue sur son pied toujours tendu.

-Bon, allez... 13. Elle fit un clin d'oeil.

-parfait, continua-t-elle, tu as passé les tests. C'est un peu juste, il va falloir que je te forme un peu plus si je veux un meilleur esclave mais ça devrait aller...

Je tiquais sur le mot « esclave ». Ca y était, j'étais en plein dedans. Plus de marche arrière possible. Tant pis. On verra bien.

-Faisons ça de manière un peu officielle. Ahem... Je t'adoube officiellement esclave de moi, Emilie, et dorénavant ta vie m'appartient, ainsi que tes décisions. Tes désirs seront miens et tu endureras tout, absolument tout, pour mon propre plaisir.

Ce faisant elle posa son pied tendu sur mon épaule gauche puis droite, comme si elle m'adoubait, pour enfin me le présenter, les orteils à quelques centimètres de ma bouche :

-Si tu acceptes cet honneur que je t'accorde, scelle le contrat par un baiser.

Ce que je fis, bien entendu, avec empressement. Tout ça m'avait excité au plus haut point. Je me voulait à ce moment plus que tout au monde lui appartenir, et ce jusqu'à la mort.

-Merci Maîtresse, tentais-je.

Elle sourit à ce mot, mais son pied me frappa le visage avec force, si bien que j'en eut presque la tête qui tourne.

-A partir de maintenant tu ne parleras plus que si je te le demande, et jamais dans d'autre circonstance, compris ?

-Oui maîtresse.

-Bien.

Elle se leva, sortit de la pièce. Je n'osais pas bouger, et donc je restais dans ma position. Je la sentis venir derrière moi, et quelque chose de froid se posa contre mon cou.

-Voici son collier, il indique que tu m'appartiens. Tu le porteras tout le temps, même à la fac. Il n'est pas très gros, il sera facile à cacher.

Puis elle se rassit sur le canapé. Elle avait à la main un paquet de chips et dans l'autre la télécommande de l'écran plat qui se trouvait derrière moi. Elle l'alluma puis ouvrit son paquet.

-Ta première tâche, esclave, sera de me laver les pieds. Ils sont tout sales, comme tu as pu le constater.

Je restais un moment sans bouger.

-Allez, exécution, je te donne la permission de les toucher pour cela.

Je l'interrogeais du regard.
-quoi, qu'est-ce qu'il y a ?

Je pris ça pour une permission de parler :

-Ou puis-je trouver de l'eau et une bassine maîtresse ?

Elle me regarda froidement. Elle posa ses chips, puis elle me fit signe d'avancer avec sa main. J'avançais sur mes genoux, jusqu'à avoir le visage un peu au dessus des siens.
Elle m'attrapa alors à la gorge d'une main tandis que l'autre me gifla avec une force telle que mon oreille se boucha presque. Puis elle me gifla tout en parlant:

-Tu te moques de moi n'est-ce pas ? Gifle. T'as pas compris ou quoi ? Gifle. Tu penses que j'en ai quelque chose à foutre de te voir me laver les pieds à l'eau ? Gifle.

Ma joue brulait et je commençait à avoir les larmes aux yeux, presque de surprise. Elle ne criait pas vraiment mais son ton était très sec et mordant.

-Te fais pas plus bête que tu ne l'es, et utilise ta langue. Gifle.

Elle me lâcha et je reculais un peu, apeuré. Je ne l'avais jamais vu comme ça. Mais elle n'avait pas l'air très en colère, plutôt jouissant de sa position et en profitant abusivement. Elle avait un demi-sourire et ses yeux brillaient d'excitation. Puis elle me tendit son pied droit, sans autre indication.

Je le pris délicatement avec ma main gauche, et commença à passer ma langue dessous, la rentrant noire pour la ressortir rose et recommencer. Au fur et à mesure cependant, elle était de moins en moins rose. Je terminais ce pied, puis le reposait au sol pour soulever l'autre jambe délicatement. Elle ne fit aucun effort pour m'aider et tout le temps du nettoyage je dus supporter son poids.

Alors que je terminais de nettoyer l'autre pied, je l'aperçu, les yeux fixés sur la télévision, se mordant la lèvre, et sa main gauche plongée dans son pantalon...

 

Lorsque j'eus terminé, je remis son pied sur le sol, et je restais à genoux, la tête baissée. Emilie, qui avait commencé à gémir, s'interrompit et me fis signe de m'allonger au sol. Je m'exécutai, me mis sur le dos, ma tête entre ses deux pieds.

-Une princesse comme moi ne peut quand même pas laisser ses pieds sur un sol si sale, surtout après qu'ils soient aussi propres...

Elle sourit et, sans avertissement les posa sur mon visage. Ce fit un peu mal car, ses pieds étant petits (36 je dirais), ses talons vinrent se caler directement sur mes yeux, appuyant dessus. Peu après, je commençait même à avoir quelques flashs, car elle ne faisait pas d'effort pour être délicate et ses jambes pesaient lourds sur mon visage...
Je respirais difficilement aussi, car ses plantes était devant ma bouche et ses orteils sur mon menton... Au bout d'une dizaine de minutes, je la sentis se relever un peu, en mettant encore plus de poids sur mon visage:

-garde les yeux fermés et ouvre la bouche!

Elle prit une voix enfantine pour me dire ça, comme un jeu de cour de récréation... Elle enleva alors ses pieds et j'ouvrai la bouche en grand.

Je sentis alors sa main passer sous mon nez. Une odeur forte mais agréable fit frissonner mes narines. Puis elle plongea ses doigts dans ma bouche.

-lèche!

Je léchait et suçait ses doigts, qui avaient le goût... de son jus. Elle avait enlevé sa main de sa culotte pour me la faire nettoyer. Après l'avoir compris je me mit à sucer ses doigts avec plus de passion, ce qui la fit rire. Elle retira sa main, et je gardais ma bouche ouverte, puis elle plongea l'extrémité de son pied dedans.

Plus grand que sa main, j'eus du mal à ouvrir la bouche suffisamment grand pour y faire rentrer tous les orteils. Néanmoins je réussis, et elle s'amusa a faire des va-et vient avec, tandis que j'essayais tant bien que mal de respirer avec son autre pied sur mon nez...
A un moment, elle se mit à enfoncer son pied de plus en plus loin dans ma gorge, cruellement. Elle enfonçait toujours plus, malgré mes débuts de spasmes et de réflexes nauséeux. Elle mis encore plus de poids dessus. J'avais l'impression que ma mâchoire allait se briser. Lorsqu'elle agita ses orteils dans ma gorge je me mis à suffoquer, à défaut de pouvoir tousser, et des larmes me vinrent aux yeux. J'essayait de tourner la tête mais elle l'avait prise entre ses mains et la maintenait fermement. Mes poumons brulaient à cause du manque d'oxygène, et j'allais enlever son pieds avec mes mains quand elle l'enleva d'elle-même.
Je me roulai alors en boule sur le côté en toussant et crachant de toutes mes forces pendant une bonne minute, tandis qu'elle me regardais avec amusement.
-il va falloir que je t'entraine un peu à ça. Tu sais, j'y prends beaucoup de plaisir, donc il va falloir que tu fasses des efforts pour le supporter. En tout cas plus longtemps. Tu n'as même pas tenu 30 secondes.

30 secondes? J'était sûr que ça faisait plus longtemps. Mais finalement, impossible à dire, elle pouvait très bien mentir de toute façon, puisqu'elle avait le contrôle. Je n'avais pas mon mot à dire...

Cette fille était folle, et moi encore plus fou d'avoir accepté de lui appartenir...

-Remets-toi en place. Et rouvre la bouche.

Je me remis tant bien que mal en place, fermai les yeux et ouvrai la bouche, avec beaucoup d'appréhension. Ca avait été très douloureux, je ne voulais pas d'une deuxième fournée...

Emilie se pencha et, après s'être positionnée au dessus de moi, se racla la gorge et cracha.

Je sentis la salive tomber dans ma bouche, réprimai un haut-le-coeur...

-ferme la bouche, mais n'avale pas.

J'obtempérai. Elle replaça ses pieds sur mon visage, lourdement et sans aucun égard pour moi, et continua de regarder la télévision.

Je gardait son crachat pendant une bonne vingtaine de minutes avant qu'elle ne se décide à me le faire avaler. Puis elle continua de regarder son émission jusqu'à la fin, sans se soucier de moi.

Lorsqu'elle enleva ses pied de mon visage, je ne vis que du blanc pendant une ou deux minutes, avant que mes vision se rétablisse. Durant ce temps elle était partie à la cuisine se faire réchauffer un plat, car j'entendais le micro-onde de là où j'étais. Lorsqu'elle revint, avec un plateau sur lequel était posé une assiette et un verre, elle resta un moment à me regarder, debout à côté de moi.

-allonge-toi sur le canapé.

C'était un grand canapé en angle, donc j'avais largement la place de m'y mettre complètement. Je me mis à genoux puis grimpa sur le canapé pour m'y allonger sur le dos.

Emilie se positionna debout devant ma poitrine, puis se retourna. Elle jeta un œil derrière elle, puis elle se laissa tomber sur moi.
J'eus le souffle coupé, et laissai échapper un «ouuff» qui la fit ricaner. Elle tortilla un peu des fesse pour se mettre à l'aise et me regarda, l'oeil brillant.

-Je vais mettre un film, donc j'espère que tu est installé confortablement...

Elle me jeta un regard moqueur

-Tourne la tête. Et ne la bouge plus jusqu'à la fin où je t'assure que tu t'en souviendra.

Je tournais ma tête vers la droite, face à la télévision. Elle posa le plateau dessus. Il était très chaud et mon oreille se mit à brûler mais je restais stoïque. De plus, son cul était posé sur quasiment toute ma poitrine, ce qui m'obliger à faire beaucoup d'efforts pour prendre une respiration. Le plateau tenait mal en équilibre et le verre posé dessus était très instable, mais je m'efforçait d'avoir une posture droite.

Emilie, elle, sirotait sa grenadine en mangeant des lasagnes tranquillement. Elle regardait son film confortablement installée. Elle en vint même à oublier qu'elle était assise sur quelqu'un, même si une chaleur dans le bas-ventre lui rappelait à quelle point elle était excitée de la situation...

Evidemment, au bout d'une demi-heure, à force d'avoir le cou crispé, je n'y tint plus et reposait ma tête un peu. Et le verre tomba, heureusement déjà vide. Emilie mis son film en pause, tranquillement, enleva le plateau de ma tête, se leva, le posa sur une table plus loin, et s'éloigna vers la cuisine.

Je restais en position, tétanisé de peur. Pourquoi tant de calme? Pourquoi était-elle partie comme ça, sans rien dire?...

 

 

 

A suivre... ;)

Par carpette12 - Publié dans : Emilie
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